"Pape Alé Niang, personne ne le changera. Il a choisi de faire du journalisme d'investigation. Il prend position par rapport à ce qu'il estime être la démocratie". C'est l' analyse de Matar Silla, ancien directeur général de la Radiotélévision sénégalaise (RTS).
Interpellé sur la manière de faire du journaliste par le "Jury du dimanche" sur iRdio, le journaliste décrit le patron de Dakar Matin comme son petit frère toujours professionnel et qui a sa manière de fair. "J'apprécie beaucoup Pape Alé Niang, il est constant dans ce qu'il fait", insiste-t-il.
Même s'il reconnaît qu'il y a "des limites et des exceptions à la liberté d'expression", Matar Silla estime que "quand un journaliste dit quelque chose, le plus important, ce n'est pas ce qu'il dit, mais est-ce que ce qu'il a dit est vrai ou pas. Si c'est vrai, il vaut mieux s'attacher à corriger ce qui est mis en cause surtout si c'est utile pour la société plutôt que de chercher des poux sur la tête de l'un ou de l'autre."C'est fondamental. Je le dis très souvent, les médias de manière générale sont pratiquement une structure de consultance pour les pouvoirs publics en alertant sur certaines choses", soutient l'ancien directeur général de la RTS.
Cependant, il pense que sur la vie privée des gens, il faut faire preuve de mesure. Parce que sur ces aspects, il faut se mettre à la place de l'autre. Il faut avoir ce sens de l'empathie".
Interpellé sur la manière de faire du journaliste par le "Jury du dimanche" sur iRdio, le journaliste décrit le patron de Dakar Matin comme son petit frère toujours professionnel et qui a sa manière de fair. "J'apprécie beaucoup Pape Alé Niang, il est constant dans ce qu'il fait", insiste-t-il.
Même s'il reconnaît qu'il y a "des limites et des exceptions à la liberté d'expression", Matar Silla estime que "quand un journaliste dit quelque chose, le plus important, ce n'est pas ce qu'il dit, mais est-ce que ce qu'il a dit est vrai ou pas. Si c'est vrai, il vaut mieux s'attacher à corriger ce qui est mis en cause surtout si c'est utile pour la société plutôt que de chercher des poux sur la tête de l'un ou de l'autre."C'est fondamental. Je le dis très souvent, les médias de manière générale sont pratiquement une structure de consultance pour les pouvoirs publics en alertant sur certaines choses", soutient l'ancien directeur général de la RTS.
Cependant, il pense que sur la vie privée des gens, il faut faire preuve de mesure. Parce que sur ces aspects, il faut se mettre à la place de l'autre. Il faut avoir ce sens de l'empathie".