Comme le prétend le Saes, la nouvelle loi organisant les universités publiques ne remet pas en cause les franchises universitaires et l’autonomie académique. C’est ce qu’a déclaré le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, lors de l’ouverture du symposium portant sur les projets de recherche financés par l’Usaid/Era.
« Cela n’a rien à voir avec l’autonomie des universités, à savoir les franchises universitaires et l’autonomie académique. Ces aspects restent du ressort du conseil académique qui est quasiment une traduction de l’assemblée de l’université, telle qu’elle existe aujourd’hui et qui est présidée par le recteur de l’université », a répliqué le Pr Mary Teuw Niane face aux accusations du Saes dont les responsables voient derrière ce texte une volonté de la tutelle de tout contrôler à l’université.
Revenant sur l’importance des liens qui doivent désormais exister entre le monde universitaire et le monde socioprofessionnel, le ministre a souligné que cette nouvelle loi, adoptée à l’unanimité à l’Assemblée nationale, renferme certains aspects fondamentaux qui ont été influencés par une culture nouvelle introduite fortement dans les universités publiques par le projet Usaid/Era.
L’autre aspect sur lequel le ministre s’est appesanti est relatif aux nouvelles missions dévolues aux universités. Selon lui, « pour la première fois, nous avons une loi unique pour nos universités publiques avec des missions bien définies ».
Parmi ces dernières, figurent trois éléments fondamentaux : le service à la communauté, la préoccupation pour l’insertion des étudiants et l’innovation. D’après lui, ces quelques aspects fondamentaux vont « transformer nos universités pour qu’elles soient des institutions de développement ».
Avec Le Soleil
« Cela n’a rien à voir avec l’autonomie des universités, à savoir les franchises universitaires et l’autonomie académique. Ces aspects restent du ressort du conseil académique qui est quasiment une traduction de l’assemblée de l’université, telle qu’elle existe aujourd’hui et qui est présidée par le recteur de l’université », a répliqué le Pr Mary Teuw Niane face aux accusations du Saes dont les responsables voient derrière ce texte une volonté de la tutelle de tout contrôler à l’université.
Revenant sur l’importance des liens qui doivent désormais exister entre le monde universitaire et le monde socioprofessionnel, le ministre a souligné que cette nouvelle loi, adoptée à l’unanimité à l’Assemblée nationale, renferme certains aspects fondamentaux qui ont été influencés par une culture nouvelle introduite fortement dans les universités publiques par le projet Usaid/Era.
L’autre aspect sur lequel le ministre s’est appesanti est relatif aux nouvelles missions dévolues aux universités. Selon lui, « pour la première fois, nous avons une loi unique pour nos universités publiques avec des missions bien définies ».
Parmi ces dernières, figurent trois éléments fondamentaux : le service à la communauté, la préoccupation pour l’insertion des étudiants et l’innovation. D’après lui, ces quelques aspects fondamentaux vont « transformer nos universités pour qu’elles soient des institutions de développement ».
Avec Le Soleil