La Direction de la protection des végétaux (DPV) a annoncé la mise en place ‘’de nouvelles dispositions’’ destinées à ‘’renforcer le système de traçabilité et d’archivage des opérations d’inspection et de certification phytosanitaire’’, après l’interception de lots de mangues par l’Union européenne (UE).
‘’De nouvelles dispositions concourant à renforcer le système de traçabilité et d’archivage des opérations d’inspection et de certification phytosanitaire ont été mises en place par la Direction de la Protection des Végétaux (DPV), pour répondre aux exigences des partenaires commerciaux’’, indique un communiqué parvenu à l’APS.
Le texte signale que des ‘’notifications d’interceptions de lots de mangues au niveau des frontières des pays de l’Union européenne (UE) ont été adressées au Sénégal et aux autres pays exportateurs africains, à cause de la présence de mouches de fruits dans les lots de mangue’’.
Aussi l’UE a-t-elle ‘’demandé’’ à tous les pays de la CEDEAO de ’’mettre en place un Plan d’action intégrant des mesures correctives à prendre, afin d’éviter que cette campagne ne soit compromise à cause des notifications de non conformité dues aux mouches des fruits’’, relève la DPV.
Selon elle, des réunions ont été tenues avec l’ensemble des acteurs de la filière mangue, durant les mois de mai et juin, avec l’appui des partenaires du programme IFC de la Banque mondiale. Elle assure que ces rencontres ont permis le partage des nouvelles approches d’encadrement de la filière.
Le communiqué souligne que les nouvelles dispositions prises par la DPV s’articulent autour de la mise à jour de la base de données des opérateurs, la sensibilisation des exportateurs sur l’avenir de la filière, leur catégorisation selon le profil de risques.
Il cite aussi la stratégie mise en œuvre pour la présence régulière des services d’inspection et de contrôle dans les stations et le retraçage de toutes les activités de certification phytosanitaire.
Malgré les notifications de l’UE, les exportations de mangues sénégalaises vers les pays européens et de la CDEDAO ont connu un record de 17.000 tonnes lors de la campagne 2017-2018.
APS
‘’De nouvelles dispositions concourant à renforcer le système de traçabilité et d’archivage des opérations d’inspection et de certification phytosanitaire ont été mises en place par la Direction de la Protection des Végétaux (DPV), pour répondre aux exigences des partenaires commerciaux’’, indique un communiqué parvenu à l’APS.
Le texte signale que des ‘’notifications d’interceptions de lots de mangues au niveau des frontières des pays de l’Union européenne (UE) ont été adressées au Sénégal et aux autres pays exportateurs africains, à cause de la présence de mouches de fruits dans les lots de mangue’’.
Aussi l’UE a-t-elle ‘’demandé’’ à tous les pays de la CEDEAO de ’’mettre en place un Plan d’action intégrant des mesures correctives à prendre, afin d’éviter que cette campagne ne soit compromise à cause des notifications de non conformité dues aux mouches des fruits’’, relève la DPV.
Selon elle, des réunions ont été tenues avec l’ensemble des acteurs de la filière mangue, durant les mois de mai et juin, avec l’appui des partenaires du programme IFC de la Banque mondiale. Elle assure que ces rencontres ont permis le partage des nouvelles approches d’encadrement de la filière.
Le communiqué souligne que les nouvelles dispositions prises par la DPV s’articulent autour de la mise à jour de la base de données des opérateurs, la sensibilisation des exportateurs sur l’avenir de la filière, leur catégorisation selon le profil de risques.
Il cite aussi la stratégie mise en œuvre pour la présence régulière des services d’inspection et de contrôle dans les stations et le retraçage de toutes les activités de certification phytosanitaire.
Malgré les notifications de l’UE, les exportations de mangues sénégalaises vers les pays européens et de la CDEDAO ont connu un record de 17.000 tonnes lors de la campagne 2017-2018.
APS