Le président remet ça. Après la cadence, c’est le rythme. Dans tous les cas, Macky Sall réitère son appelle à son retour du Groupe consultatif de Paris en février autour du Plan Sénégal Emergent (PSE). Il invite à se remettre au travail. Ce, dit-il pour répondre aux attentes exprimées par les populations. « Nous devrons nous remettre immédiatement au travail, pour répondre aux attentes exprimées par les populations. Nous devons arrêter les débats stériles et les campagnes électorales permanentes, pour nous tourner résolument vers la prise en compte des préoccupations des populations. Le travail s’accommode mal de la palabre incessante. Les pays amis, les organismes financiers et les bailleurs de fonds nous ont offert de nous accompagner, dans le cadre d’un partenariat efficace et porteur de croissance dans des domaines socio-économiques bien identifiés.
Dès lors, notre pays dispose de tous les atouts pour aller vers l’émergence. Le développement n’est pas une manne tombant du ciel : il impose de se retrousser les manches », sert le président qui, sans doute en réponse à Wade fort critique sur sa gestion, dit avoir « engagé le gouvernement, sous l’autorité de Madame le Premier Ministre, à accélérer le rythme d’exécution de nos politiques et de nos projets. Un programme d’exécution des tâches avec un échéancier précis sera élaboré pour chaque département ministériel, avec comme seul crédo: la production de résultats concrets ». A cet égard, Macky Sall est intraitable car « aucune lenteur ne sera tolérée » prévient-il.
Avant les ministres, ce sont les partis politiques en lice pour les prochaines joutes électorales des locales du 29 juin qui ont eu droit à un sermon. Le président de l’Alliance Pour la République qui les appelle « à la sérénité et au sens des responsabilités de chacune et de chacun, pour le respect des règles démocratiques et l’application scrupuleuse des bonnes pratiques électorales ». Ce qui, selon lui « exclut évidemment tout recours à la violence sous quelque forme que ce soit. L’intérêt du pays doit être placé au dessus des contingences idéologiques et politiciennes, et comme par le passé, la sérénité doit prévaloir, pour que les élections se déroulent dans le calme ». Le président de la République s’est prononcé pas plus tard qu’hier lors de la réception du rapport 2013 de la Commission Electorale Nationale Autonome (CENA) au palais de la République.
Dès lors, notre pays dispose de tous les atouts pour aller vers l’émergence. Le développement n’est pas une manne tombant du ciel : il impose de se retrousser les manches », sert le président qui, sans doute en réponse à Wade fort critique sur sa gestion, dit avoir « engagé le gouvernement, sous l’autorité de Madame le Premier Ministre, à accélérer le rythme d’exécution de nos politiques et de nos projets. Un programme d’exécution des tâches avec un échéancier précis sera élaboré pour chaque département ministériel, avec comme seul crédo: la production de résultats concrets ». A cet égard, Macky Sall est intraitable car « aucune lenteur ne sera tolérée » prévient-il.
Avant les ministres, ce sont les partis politiques en lice pour les prochaines joutes électorales des locales du 29 juin qui ont eu droit à un sermon. Le président de l’Alliance Pour la République qui les appelle « à la sérénité et au sens des responsabilités de chacune et de chacun, pour le respect des règles démocratiques et l’application scrupuleuse des bonnes pratiques électorales ». Ce qui, selon lui « exclut évidemment tout recours à la violence sous quelque forme que ce soit. L’intérêt du pays doit être placé au dessus des contingences idéologiques et politiciennes, et comme par le passé, la sérénité doit prévaloir, pour que les élections se déroulent dans le calme ». Le président de la République s’est prononcé pas plus tard qu’hier lors de la réception du rapport 2013 de la Commission Electorale Nationale Autonome (CENA) au palais de la République.