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Le Président de la République, Maky Sall, se rendra dans la région de Matam du 22 au 23 août, dans le cadre d’une tournée économique destinée notamment à s’enquérir de la situation de l’agriculture dans cette zone du nord-est, a-t-on appris samedi de source proche de la gouvernance.
Au cours de son séjour dans la région de Matam, Macky Sall visitera notamment les périmètres irrigués de Wéndou Bosséabé.
Ces exploitations sont entièrement financées par l’homme d’affaires et ingénieur hydro-électricien, Harouna Dia, un fils du village actuellement installé au Burkina Faso. La visite de ces périmètres sera suivie d’un forum sur l’agriculture.
En raison du déficit pluviométrique souvent noté dans la zone, l’homme d’affaires a eu l’idée d’aider les habitants du village à se tourner vers les cultures irriguées.
Il leur a ainsi offert deux forages, pour assurer la disponibilité de l’eau. Et, en 2006, il a mis à la disposition des femmes un périmètre irrigué de 80 hectares avant d'en faire de même pour les hommes, deux ans plus tard.
Ces deux champs sont dotés de forages électrifiés, ce qui permet aux populations de réaliser trois campagnes agricoles par an.
On y cultive du maïs, des pastèques, du gombo, de l’arachide, etc.
Le village de Wéndou Bosséabé, à force de cultiver, est devenu un véritable pôle économique et agricole.
Dans le sillage de ces périmètres est né le Programme pour le développement agricole de Matam (PRODAM), qui a mis en place des Société d'intensification pour la production agricole (SIPA), au nombre de 150, et qui emploient chacune plus de 150 personnes.
La réussite de ces SIPA a poussé les autorités du PRODAM à étendre ce programme agricole au département de Podor.
Au cours de son séjour dans la région de Matam, Macky Sall visitera notamment les périmètres irrigués de Wéndou Bosséabé.
Ces exploitations sont entièrement financées par l’homme d’affaires et ingénieur hydro-électricien, Harouna Dia, un fils du village actuellement installé au Burkina Faso. La visite de ces périmètres sera suivie d’un forum sur l’agriculture.
En raison du déficit pluviométrique souvent noté dans la zone, l’homme d’affaires a eu l’idée d’aider les habitants du village à se tourner vers les cultures irriguées.
Il leur a ainsi offert deux forages, pour assurer la disponibilité de l’eau. Et, en 2006, il a mis à la disposition des femmes un périmètre irrigué de 80 hectares avant d'en faire de même pour les hommes, deux ans plus tard.
Ces deux champs sont dotés de forages électrifiés, ce qui permet aux populations de réaliser trois campagnes agricoles par an.
On y cultive du maïs, des pastèques, du gombo, de l’arachide, etc.
Le village de Wéndou Bosséabé, à force de cultiver, est devenu un véritable pôle économique et agricole.
Dans le sillage de ces périmètres est né le Programme pour le développement agricole de Matam (PRODAM), qui a mis en place des Société d'intensification pour la production agricole (SIPA), au nombre de 150, et qui emploient chacune plus de 150 personnes.
La réussite de ces SIPA a poussé les autorités du PRODAM à étendre ce programme agricole au département de Podor.
