De gauche à la droite: L'Imam Mouhammedou Abdallah CISSE, le Professeur Maguèye Seck, Zeynou Habidine DIOP et l'adjoint au gouverneur Boubabcar BA
Le conférencier, Mouhammedou Abdallah CISSE, imam ratib de la mosquée Ihsane, s’est penché avec éloquence sur le thème des droits positifs et le respect des droits de l’homme.
En effet, l’Imam CISSE a insisté sur des termes relatifs aux droits de l’homme et les valeurs et principes qui les sous-tendent. Il a développé avec prévision sur les droits protégés aussi bien que les droits non-protégés en faisant référence à Michel Foucault, un philosophe français dont le travail porte sur les rapports entre pouvoir et savoir, auteur du célèbre Surveiller et punir.
«La pénalité moderne n’ose plus dire qu’elle punit des crimes; elle prétend réadapter des délinquants », constatait ce penseur qu’évoque l’imam et qui dressait déjà ce constat, en 1975.
Faisant référence aux droits positifs, la conversation s’est beaucoup accentuée d’une part sur les exigences prises en charge dans le secteur pénitentiaire et celles qui ne le sont pas. D’autre part, la dignité des détenus, les conflits, l’ordre et le respect ont été brillamment élucidés.
Nous avons appris que le droit positif constitue un ensemble de droits consacrés des valeurs d’une société codifiée et mise en œuvre par un processus institutionnel. Des exemples concrets ont été cités.
Les mêmes concepts et références religieuses sur cette thématique du respect des droits ont été magnifiés par Zeynou Habidine DIOP qui ajouté des analyses et orientations pertinentes sur les échanges.
Par ailleurs, des pensionnaires de la MAC de Saint-Louis qui n’avaient pas de lits l’année dernière ont affiché toute leur joie en indiquant que ce problème a été résolu, cette année. D’autres qui n’avaient pas accès à des soins médicaux, ont montré toute leur satisfaction.
Pour les difficultés liées à l’alimentation, les détenus révèlent que plusieurs améliorations ont été faites. Ils l’ont affirmé publiquement et en toute responsabilité durant, en signalant à l’assistance qu’ils n’ont pas été contraints de faire ce témoignage. Ils ont fortement remercié le régisseur, l’adjoint du gouverneur et la presse qui, pour eux, sont les principaux responsables de ce bond qualitatif et de ces changements positifs tant souhaité.
Des acquis satisfaisants enregistrés et qui prouvent que la MAC de Saint-Louis est un modèle palpant ; où il est possible de parler de respect des droits humains.
Magueye Seck, Ph.D. Professeur de sociologie et de criminologie
En effet, l’Imam CISSE a insisté sur des termes relatifs aux droits de l’homme et les valeurs et principes qui les sous-tendent. Il a développé avec prévision sur les droits protégés aussi bien que les droits non-protégés en faisant référence à Michel Foucault, un philosophe français dont le travail porte sur les rapports entre pouvoir et savoir, auteur du célèbre Surveiller et punir.
«La pénalité moderne n’ose plus dire qu’elle punit des crimes; elle prétend réadapter des délinquants », constatait ce penseur qu’évoque l’imam et qui dressait déjà ce constat, en 1975.
Faisant référence aux droits positifs, la conversation s’est beaucoup accentuée d’une part sur les exigences prises en charge dans le secteur pénitentiaire et celles qui ne le sont pas. D’autre part, la dignité des détenus, les conflits, l’ordre et le respect ont été brillamment élucidés.
Nous avons appris que le droit positif constitue un ensemble de droits consacrés des valeurs d’une société codifiée et mise en œuvre par un processus institutionnel. Des exemples concrets ont été cités.
Les mêmes concepts et références religieuses sur cette thématique du respect des droits ont été magnifiés par Zeynou Habidine DIOP qui ajouté des analyses et orientations pertinentes sur les échanges.
Par ailleurs, des pensionnaires de la MAC de Saint-Louis qui n’avaient pas de lits l’année dernière ont affiché toute leur joie en indiquant que ce problème a été résolu, cette année. D’autres qui n’avaient pas accès à des soins médicaux, ont montré toute leur satisfaction.
Pour les difficultés liées à l’alimentation, les détenus révèlent que plusieurs améliorations ont été faites. Ils l’ont affirmé publiquement et en toute responsabilité durant, en signalant à l’assistance qu’ils n’ont pas été contraints de faire ce témoignage. Ils ont fortement remercié le régisseur, l’adjoint du gouverneur et la presse qui, pour eux, sont les principaux responsables de ce bond qualitatif et de ces changements positifs tant souhaité.
Des acquis satisfaisants enregistrés et qui prouvent que la MAC de Saint-Louis est un modèle palpant ; où il est possible de parler de respect des droits humains.
Magueye Seck, Ph.D. Professeur de sociologie et de criminologie
Mouhamed Lamine DIOP, regisseur de la Mac de Saint-Louis