La Banque mondiale a approuvé aujourd’hui un financement d'un montant de 135 millions de dollars, destiné à soutenir le Sénégal pour réduire les risques d'inondation dans les zones périurbaines de Dakar et les anticiper grâce au renforcement des capacités de planification et de gestion urbaine.
Ce financement, le deuxième accordé au Projet de Gestion des Eaux Pluviales et d’Adaptation au Changement Climatique 2 (PROGEP 2), devrait permettre de renforcer la résilience aux inondations dans des zones ciblées.
« Le financement initial du PROGEP 2 a déjà permis la construction de plus de 14 km de canaux primaires et secondaires, protégeant 55 000 personnes et 345 ha des inondations. Dans le sillage de ces résultats positifs, nous sommes confiants que ce financement additionnel pourra apporter des solutions structurelles pour atténuer les impacts des fortes pluies dans les zones urbaines prioritaires identifiées par le gouvernement » a déclaré Keiko Miwa, directrice des opérations de la Banque mondiale pour le Cabo Verde, la Gambie, la Guinée-Bissau, la Mauritanie et le Sénégal.
Epicentres des inondations en 2022, la partie nord de Keur-Massar et le bassin versant du Lac Rose sont les deux zones nouvellement intégrées dans le PROGEP 2. Le nombre de bénéficiaires du projet dans ces nouvelles zones d’expansion urbaine de la région de Dakar devrait ainsi sensiblement augmenter, passant de 120 000 à 184 000 personnes protégées des inondations.
« A travers ce financement additionnel au PROGEP 2, la réalisation de travaux de drainage additionnels à Keur Massar Nord dans le bassin versant de Mbeubeuss est prévue avec 11,7 km de collecteurs primaires et secondaires et 10 bassins de rétention des eaux de pluie pour une capacité de stockage de 165 200 m3. Dans le sous-bassin versant de Kounoune-Sangalkam qui fait partie intégrante du bassin versant du lac rose, 27,35 km de collecteurs primaires, 6 bassins de rétention pour une capacité totale de 120.000 m3 ainsi qu’un exutoire vers la mer seront construits, » a déclaré Isabelle Celine Kane, chargé du projet à la Banque mondiale.
Dans la mesure du possible, les travaux à financer intègreront des solutions basées sur la nature, telles que les corridors verts ou espaces verts, autour des ouvrages de drainage urbain. Ceci devrait permettre également de préserver les zones humides de futures constructions avec des effets bénéfiques par rapport à l'adaptation aux effets du changement climatique. La date de clôture du projet initialement prévue en 2026, sera prolongée de trois ans, jusqu'en juillet 2029.
Ce financement, le deuxième accordé au Projet de Gestion des Eaux Pluviales et d’Adaptation au Changement Climatique 2 (PROGEP 2), devrait permettre de renforcer la résilience aux inondations dans des zones ciblées.
« Le financement initial du PROGEP 2 a déjà permis la construction de plus de 14 km de canaux primaires et secondaires, protégeant 55 000 personnes et 345 ha des inondations. Dans le sillage de ces résultats positifs, nous sommes confiants que ce financement additionnel pourra apporter des solutions structurelles pour atténuer les impacts des fortes pluies dans les zones urbaines prioritaires identifiées par le gouvernement » a déclaré Keiko Miwa, directrice des opérations de la Banque mondiale pour le Cabo Verde, la Gambie, la Guinée-Bissau, la Mauritanie et le Sénégal.
Epicentres des inondations en 2022, la partie nord de Keur-Massar et le bassin versant du Lac Rose sont les deux zones nouvellement intégrées dans le PROGEP 2. Le nombre de bénéficiaires du projet dans ces nouvelles zones d’expansion urbaine de la région de Dakar devrait ainsi sensiblement augmenter, passant de 120 000 à 184 000 personnes protégées des inondations.
« A travers ce financement additionnel au PROGEP 2, la réalisation de travaux de drainage additionnels à Keur Massar Nord dans le bassin versant de Mbeubeuss est prévue avec 11,7 km de collecteurs primaires et secondaires et 10 bassins de rétention des eaux de pluie pour une capacité de stockage de 165 200 m3. Dans le sous-bassin versant de Kounoune-Sangalkam qui fait partie intégrante du bassin versant du lac rose, 27,35 km de collecteurs primaires, 6 bassins de rétention pour une capacité totale de 120.000 m3 ainsi qu’un exutoire vers la mer seront construits, » a déclaré Isabelle Celine Kane, chargé du projet à la Banque mondiale.
Dans la mesure du possible, les travaux à financer intègreront des solutions basées sur la nature, telles que les corridors verts ou espaces verts, autour des ouvrages de drainage urbain. Ceci devrait permettre également de préserver les zones humides de futures constructions avec des effets bénéfiques par rapport à l'adaptation aux effets du changement climatique. La date de clôture du projet initialement prévue en 2026, sera prolongée de trois ans, jusqu'en juillet 2029.