« Depuis la mise en œuvre des stratégies, dans les années 90, on se rend compte que cela n’a pas eu un impact positif sur les consommateurs. On remplit les prisons, mais on ne diminue pas le nombre d’adeptes des stupéfiants », a-t-il dit.
Le professeur NGOM pense que « la consommation de drogue doit être envisagée comme un problème de santé publique. Il faut apporter un soutien psychologique, médical et social aux consommateurs dépendants. Cela leur permettra de sortir de cette dépendance ».
M. NGOM s’exprimait en marge de la 1re édition du Cours ouest-africain sur « les droits humains et les politiques de lutte contre la drogue en Afrique francophone » organisée par l’UFR SJP en partenariat avec Open Society Initiative for West Africa (OSIWA) et la Fondation Open Society.
Cette session déroulée au profit d’une quarantaine de participants africains a pour objectif d’ouvrir un espace d’échanges sur l’efficacité des réponses actuelles à la consommation de drogue et d’explorer des pistes de réformes respectueuses des droits humains et promouvant la réduction des risques.
►►► Suivez, en vidéo, les explications de M. NGOM
Le professeur NGOM pense que « la consommation de drogue doit être envisagée comme un problème de santé publique. Il faut apporter un soutien psychologique, médical et social aux consommateurs dépendants. Cela leur permettra de sortir de cette dépendance ».
M. NGOM s’exprimait en marge de la 1re édition du Cours ouest-africain sur « les droits humains et les politiques de lutte contre la drogue en Afrique francophone » organisée par l’UFR SJP en partenariat avec Open Society Initiative for West Africa (OSIWA) et la Fondation Open Society.
Cette session déroulée au profit d’une quarantaine de participants africains a pour objectif d’ouvrir un espace d’échanges sur l’efficacité des réponses actuelles à la consommation de drogue et d’explorer des pistes de réformes respectueuses des droits humains et promouvant la réduction des risques.
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