Nous avions précédemment annoncé dans nos colonnes des rebondissements insolites sur l'assassinat de Pascale Jorlande Bao dont le mari, accusé d'avoir commis ce crime, vient de bénéficier d'une liberté provisoire.
Cette libération prouve l'existence de pistes sérieuses découvertes par les limiers et qui ont conduit à la mise en liberté du sociologue. La théorie d'une « machination », avancée tout au début par des proches du dossier, semble se préciser, corroborée par les témoignages des proches de Bao.
Au début, c'est une lame portant l'ADN de l'accusé, ramassée à côté de la victime qui a été prise comme pièce à conviction alors qu'aucune trace de l'ADN de Bao n'a été retrouvée sur le corps de sa défunte épouse. D'après le professeur, cet accessoire a été déplacé et déposé à côté du lieu de crime pour l'enfoncer. L'homme toujours serein et croyant a clamé son annonce jusqu'au de sa peine, à la Maison d'Arrêt et de Correction de Saint-Louis.
Ensuite, les témoignages de ses proches, des ses enfants. D'abord, sa fille aînée, depuis la France avait évoqué la thèse d'un « complot » faisant de son père le bouc émissaire de cette tragédie qui avait secoué tout Saint-Louis. Ensuite, la domestique de la famille Bao qui a soutenu que le professeur Bao « n'était même pas capable de tuer une mouche ».
Qui a cherché à enfoncer Bao ? Le test sera-t-il généralisé pour mettre en examen tous les autres proches de la défunte ? Qui dirige ce présumé complot ?
Cette libération prouve l'existence de pistes sérieuses découvertes par les limiers et qui ont conduit à la mise en liberté du sociologue. La théorie d'une « machination », avancée tout au début par des proches du dossier, semble se préciser, corroborée par les témoignages des proches de Bao.
Au début, c'est une lame portant l'ADN de l'accusé, ramassée à côté de la victime qui a été prise comme pièce à conviction alors qu'aucune trace de l'ADN de Bao n'a été retrouvée sur le corps de sa défunte épouse. D'après le professeur, cet accessoire a été déplacé et déposé à côté du lieu de crime pour l'enfoncer. L'homme toujours serein et croyant a clamé son annonce jusqu'au de sa peine, à la Maison d'Arrêt et de Correction de Saint-Louis.
Ensuite, les témoignages de ses proches, des ses enfants. D'abord, sa fille aînée, depuis la France avait évoqué la thèse d'un « complot » faisant de son père le bouc émissaire de cette tragédie qui avait secoué tout Saint-Louis. Ensuite, la domestique de la famille Bao qui a soutenu que le professeur Bao « n'était même pas capable de tuer une mouche ».
Qui a cherché à enfoncer Bao ? Le test sera-t-il généralisé pour mettre en examen tous les autres proches de la défunte ? Qui dirige ce présumé complot ?