L'Organisation des régions unies (ORU)/ Forum global d’associations de régions (FOGAR), créée en 2007, fédère les régions à travers le monde et se fait leur ambassadeur auprès des instances internationales. Elle a ouvert son siège permanent à Genève, à proximité immédiate des Nations unies grâce aux autorités du canton, ce dont son président, M. Michel Vauzelle ainsi que ses autres représentants présents, les ont chaleureusement remerciées à travers Mme Anja Wyden-Guelpa, la chancelière. Rappelant que le canton comme la Suisse, Etat fédéral, sont particulièrement sensibles à la problématique des régions, la chancelière a, quant à elle, remercié l'ORU/FOGAR de défendre les intérêts de celles-ci et d'attirer à Genève "des gouverneurs du monde entier".
Démocratie et équité
A quelques heures de la première Convention internationale pour une politique de cohésion territoriale à l'échelle mondiale, en partenariat avec les principales organisations internationales impliquées dans les problématiques de développement, comme le PNUD, M. Michel Vauzelle explique que l'idée de l'Organisation des régions unies est née du fait que pour la société mondiale, globalisée, qui se dessine pour le 21ème siècle, il est indispensable qu'existe une organisation prenant en compte les réalités des territoires.
Celle-ci est également soucieuse d'une démocratie qui rapproche l'administration des citoyens, et d'équité entre régions riches et pauvres. "Tous les Etats reconnaissent l'importance du fait régional. Comme déjà de Gaulle et Mitterrand ", a rappelé le député PS des Bouches-du-Rhône, préfet, président du conseil régional Provences-Alpes-Côte d'Azur, vice-président de la commission des affaires étrangères à l'Assemblée nationale, membre de la délégation de l'Assemblée nationale à l'Assemblée parlementaire de la Méditerranée et secrétaire du groupe français de l'Union interparlementaire.
Aujourd'hui l'ORU/FOGAR fédère 17 réseaux de régions et d'Etats, c'est-à-dire 900 régions du monde et poursuit ses contacts, notamment avec la Chine, en vue de son développement.
M. Paul Carrasco, vice-président de l'organisation, préfet de la province équatorienne d'Azuay et président de l'Organisation latino-américaine des gouvernements intermédiaires (OLAGI) a, lui, insisté sur la nécessité de définir le rôle des citoyens dans le développement mondial, de tenir compte des ressources et besoins des territoires.
Quant à M. Aliou Niang, autre vice-président de l'ORU/FOGAR et président de la région de Saint-Louis du Sénégal, il a mis l'accent sur les questions de coopération, "la volonté de l'organisation d'amener les populations à prendre conscience que leur propre devenir dépend surtout d'elles-mêmes, sa volonté aussi d'être planétaire et ouverte, surtout aux organismes de développement et financiers et ainsi, de créer une dynamique".
WebNews
Démocratie et équité
A quelques heures de la première Convention internationale pour une politique de cohésion territoriale à l'échelle mondiale, en partenariat avec les principales organisations internationales impliquées dans les problématiques de développement, comme le PNUD, M. Michel Vauzelle explique que l'idée de l'Organisation des régions unies est née du fait que pour la société mondiale, globalisée, qui se dessine pour le 21ème siècle, il est indispensable qu'existe une organisation prenant en compte les réalités des territoires.
Celle-ci est également soucieuse d'une démocratie qui rapproche l'administration des citoyens, et d'équité entre régions riches et pauvres. "Tous les Etats reconnaissent l'importance du fait régional. Comme déjà de Gaulle et Mitterrand ", a rappelé le député PS des Bouches-du-Rhône, préfet, président du conseil régional Provences-Alpes-Côte d'Azur, vice-président de la commission des affaires étrangères à l'Assemblée nationale, membre de la délégation de l'Assemblée nationale à l'Assemblée parlementaire de la Méditerranée et secrétaire du groupe français de l'Union interparlementaire.
Aujourd'hui l'ORU/FOGAR fédère 17 réseaux de régions et d'Etats, c'est-à-dire 900 régions du monde et poursuit ses contacts, notamment avec la Chine, en vue de son développement.
M. Paul Carrasco, vice-président de l'organisation, préfet de la province équatorienne d'Azuay et président de l'Organisation latino-américaine des gouvernements intermédiaires (OLAGI) a, lui, insisté sur la nécessité de définir le rôle des citoyens dans le développement mondial, de tenir compte des ressources et besoins des territoires.
Quant à M. Aliou Niang, autre vice-président de l'ORU/FOGAR et président de la région de Saint-Louis du Sénégal, il a mis l'accent sur les questions de coopération, "la volonté de l'organisation d'amener les populations à prendre conscience que leur propre devenir dépend surtout d'elles-mêmes, sa volonté aussi d'être planétaire et ouverte, surtout aux organismes de développement et financiers et ainsi, de créer une dynamique".
WebNews