Un groupe de représentants des organisations féminines de base des villages périphériques du parc de la Langue de Barbarie, a été convié récemment à des échanges avec les organisations locales du parc de Djoudj.
Ce qui a permis à la délégation de la Langue de Barbarie de visiter les foyers améliorés du Djoudj et les différents types de fours solaires fabriqués et utilisés à Djoudj par les populations grâce à l'ONG belge "Sol Suffit".
L'utilisation de ces fours solaires, a rappelé Diouneydi Gaye, coordonnateur national de ce projet, a intéressé les invités de la Langue de Barbarie, à cause des problèmes liés à la raréfaction du bois de chauffe. Des questions assez pertinentes relatives à l'efficacité et l'accessibilité (disponibilité et coût) du produit, ont été posées. En guise de réponse, il a été retenu que les fours les plus modestes, fabriqués par le comité inter villageois, sont à la portée de tous.
au village de Mouit, sur la Langue de Barbarie, le problème soulevé par les femmes, par la voix de Fatou Khole, présidente du GIE "Takku liggey", est lié à la cherté de ces grands fours solaires qui coûtent prés de 35.000 CFA, l'unité, contrairement aux petits fours en papier aluminium qui sont cédés à 2000F.
Le conservateur de la Langue de Barbarie, le lieutenant Mallé Gueye, s'est réjoui de l'introduction de ces fours solaires dans sa localité, estimant que c'est un moyen de lutte relativement efficace contre la déforestation.
M. Gueye a rappelé que la dégradation avancée du couvert végétal particulièrement aux alentours de ce parc, rend difficile l’approvisionnement des populations en bois de chauffe au moment où le pétrole et le gaz coûtent de plus en plus cher.
Ainsi, dans un souci de préserver et de pérenniser les ressources naturelles de la zone, Mallé Gueye a bien apprécié cette initiation des populations à l'utilisation de l’énergie solaire.
Il a rappelé que ce projet d’introduction des fours solaires à Djoudj est né d’une initiative de quelques touristes belges qui, lors de leur séjour en 2008 dans cette localité, s’étaient rendu compte que les échantillons de fours solaires en carton aluminium qu’ils utilisaient pour préparer en un temps record leur repas, pouvaient permettre aux populations de ne plus dépendre du charbon de bois pour cuisiner.
Sans perdre du temps, ils ont appris aux populations à utiliser ces petits fours en papier aluminium accompagnées de petites marmites (en aluminium aussi) repeintes en noir pour mieux attirer la chaleur.
Après avoir adhéré massivement à ce projet, les populations se bousculent toujours à Djoudj, au niveau du campement touristique, pour acquérir ces fours solaires moyennant 2000F la pièce.
Ce qui a permis à la délégation de la Langue de Barbarie de visiter les foyers améliorés du Djoudj et les différents types de fours solaires fabriqués et utilisés à Djoudj par les populations grâce à l'ONG belge "Sol Suffit".
L'utilisation de ces fours solaires, a rappelé Diouneydi Gaye, coordonnateur national de ce projet, a intéressé les invités de la Langue de Barbarie, à cause des problèmes liés à la raréfaction du bois de chauffe. Des questions assez pertinentes relatives à l'efficacité et l'accessibilité (disponibilité et coût) du produit, ont été posées. En guise de réponse, il a été retenu que les fours les plus modestes, fabriqués par le comité inter villageois, sont à la portée de tous.
au village de Mouit, sur la Langue de Barbarie, le problème soulevé par les femmes, par la voix de Fatou Khole, présidente du GIE "Takku liggey", est lié à la cherté de ces grands fours solaires qui coûtent prés de 35.000 CFA, l'unité, contrairement aux petits fours en papier aluminium qui sont cédés à 2000F.
Le conservateur de la Langue de Barbarie, le lieutenant Mallé Gueye, s'est réjoui de l'introduction de ces fours solaires dans sa localité, estimant que c'est un moyen de lutte relativement efficace contre la déforestation.
M. Gueye a rappelé que la dégradation avancée du couvert végétal particulièrement aux alentours de ce parc, rend difficile l’approvisionnement des populations en bois de chauffe au moment où le pétrole et le gaz coûtent de plus en plus cher.
Ainsi, dans un souci de préserver et de pérenniser les ressources naturelles de la zone, Mallé Gueye a bien apprécié cette initiation des populations à l'utilisation de l’énergie solaire.
Il a rappelé que ce projet d’introduction des fours solaires à Djoudj est né d’une initiative de quelques touristes belges qui, lors de leur séjour en 2008 dans cette localité, s’étaient rendu compte que les échantillons de fours solaires en carton aluminium qu’ils utilisaient pour préparer en un temps record leur repas, pouvaient permettre aux populations de ne plus dépendre du charbon de bois pour cuisiner.
Sans perdre du temps, ils ont appris aux populations à utiliser ces petits fours en papier aluminium accompagnées de petites marmites (en aluminium aussi) repeintes en noir pour mieux attirer la chaleur.
Après avoir adhéré massivement à ce projet, les populations se bousculent toujours à Djoudj, au niveau du campement touristique, pour acquérir ces fours solaires moyennant 2000F la pièce.