Les militantes et militants de la fédération Pds de Mauritanie ont aussi, suite à la marche libérale, mis leur grain de sel dans ce combat contre le régime en place. Se disant stupéfaits par la traque des biens mal acquis, ils accusent le Président Macky Sall de vouloir abattre un adversaire politique, en emprisonnant Karim Wade.
Les libéraux de Mauritanie, dans une déclaration publique, disent suivre avec stupeur la traque des biens supposés mal acquis, braquée contre les responsables et dignitaires de l’ancien régime. «Une véritable chasse aux sorcières, orchestrée au plus haut niveau par celui qui ne peut se prévaloir d’être propre, tellement sa supposée fortune acquise en huit ans d’exercice dans la fonction publique, frise le ridicule», notent-ils.
En effet, selon eux, depuis son accession au pouvoir, le Président Macky Sall ne cesse d’harceler les dignitaires du régime libéral, du fait de sa peur bleue, convaincu d’être arrivé au pouvoir par défaut, mais aussi, qu’il a en face de lui une opposition forte, responsable et qui est sur la trajectoire de revenir aux affaires.
Cela est d’autant plus vrai, à leur sens, que les sénégalais sont frustrés et lui ont tourné le dos, en moins de 12 mois de gestion hasardeuse du pouvoir. En outre, indiquent-ils : «Macky Sall et sa coalition Benno Bokk Yaakar, devenue Benno Tass Yakaar, sont embarqués dans un bateau dont ils ne maîtrisent pas le gouvernail. Ils sont donc perdus dans le large et il n’y a que le Pds qui peut les sauver, parce que détenant le GPS le plus sûr».
Avec l’emprisonnement de Karim Wade, arguent les libéraux, «il est clair que le régime de Macky Sall veut abattre un adversaire politique de taille et partant, fait montre d’une gestion vengeresse du pouvoir, via une chasse aux sorcières de règlement de comptes politiques».
Pis, ils jugent que Macky Sall ne s’arrêtera pas là, pour avoir dans son viseur politico-judiciaire, les autres dignitaires libéraux. «Aujourd’hui, on ne reconnaît plus cette justice sénégalaise indépendante, avec le régime socialiste et sous Wade», déplorent les libéraux de Mauritanie qui prônent une mobilisation tous azimuts, pour, disent-ils, dire non à l’arbitraire et à l’instrumentalisation de la justice.
Mamadou Diouf
Les libéraux de Mauritanie, dans une déclaration publique, disent suivre avec stupeur la traque des biens supposés mal acquis, braquée contre les responsables et dignitaires de l’ancien régime. «Une véritable chasse aux sorcières, orchestrée au plus haut niveau par celui qui ne peut se prévaloir d’être propre, tellement sa supposée fortune acquise en huit ans d’exercice dans la fonction publique, frise le ridicule», notent-ils.
En effet, selon eux, depuis son accession au pouvoir, le Président Macky Sall ne cesse d’harceler les dignitaires du régime libéral, du fait de sa peur bleue, convaincu d’être arrivé au pouvoir par défaut, mais aussi, qu’il a en face de lui une opposition forte, responsable et qui est sur la trajectoire de revenir aux affaires.
Cela est d’autant plus vrai, à leur sens, que les sénégalais sont frustrés et lui ont tourné le dos, en moins de 12 mois de gestion hasardeuse du pouvoir. En outre, indiquent-ils : «Macky Sall et sa coalition Benno Bokk Yaakar, devenue Benno Tass Yakaar, sont embarqués dans un bateau dont ils ne maîtrisent pas le gouvernail. Ils sont donc perdus dans le large et il n’y a que le Pds qui peut les sauver, parce que détenant le GPS le plus sûr».
Avec l’emprisonnement de Karim Wade, arguent les libéraux, «il est clair que le régime de Macky Sall veut abattre un adversaire politique de taille et partant, fait montre d’une gestion vengeresse du pouvoir, via une chasse aux sorcières de règlement de comptes politiques».
Pis, ils jugent que Macky Sall ne s’arrêtera pas là, pour avoir dans son viseur politico-judiciaire, les autres dignitaires libéraux. «Aujourd’hui, on ne reconnaît plus cette justice sénégalaise indépendante, avec le régime socialiste et sous Wade», déplorent les libéraux de Mauritanie qui prônent une mobilisation tous azimuts, pour, disent-ils, dire non à l’arbitraire et à l’instrumentalisation de la justice.
Mamadou Diouf