Le gingembre, allié d’une bonne digestion
Une synthèse d’études pratiquées sur les animaux parue en 2004 démontre que le gingembre pourrait stimuler la sécrétion de bile et l’activité de différents enzymes digestifs, ce qui entraine une digestion plus rapide des aliments. Les quantités de gingembre utilisées dans ces études sont élevées et même supérieures à ce que pourraient consommer des populations reconnues comme étant de grandes consommatrices d’épices, comme l’Inde.
D’ailleurs, la racine de gingembre est utilisée depuis des millénaires en médecine traditionnelle chinoise pour stimuler la digestion . Cependant, dans la mesure où l’effet de la consommation de gingembre frais sur le processus de digestion n’a pas fait l’objet d’étude clinique bien contrôlée chez l’humain, davantage de recherches pourront éventuellement mener à des conclusions plus précises sur le sujet. Une affaire à suivre donc…
Le gingembre pour éviter les nausées
En 1999, l’Organisation Mondiale de la Santé a reconnu l’utilité du rhizome de gingembre pour lutter contre les nausées et les vomissements de la grossesse. Les gingérols et les shogaols contenus dans le gingembre joueraient un rôle dans l’effet antiémétique, en agissant entre autres sur la réduction des mouvements de l’estomac.
Le gingembre en poudre serait donc une alternative efficace à la vitamine B6 généralement prescrite aux femmes enceintes. D’autant plus qu’il ne provoque aucun effet secondaire…
Le gingembre, un puissant anti-inflammatoire
La médecine ayurvédique indienne utilise le gingembre pour soulager les douleurs reliées à l’arthrite et aux autres rhumatismes inflammatoires. Mais l’Occident reconnaît cet usage traditionnel puisque de récentes études (Phytomedicine 2005) comparent l’efficacité du gingembre à celle de médicaments de dernière génération.
Il est conseillé de consommer du gingembre en poudre puisque 1g de gingembre séché équivaut à 10g de gingembre frais. Parmi les composés les plus reconnus, on peut citer les gingérols dont les effets bénéfiques ont été également observés chez l’animal, mais aussi les shogaols et les paradols qui exerceraient leurs effets par différents mécanismes d’action.
femmeactuelle.fr
Une synthèse d’études pratiquées sur les animaux parue en 2004 démontre que le gingembre pourrait stimuler la sécrétion de bile et l’activité de différents enzymes digestifs, ce qui entraine une digestion plus rapide des aliments. Les quantités de gingembre utilisées dans ces études sont élevées et même supérieures à ce que pourraient consommer des populations reconnues comme étant de grandes consommatrices d’épices, comme l’Inde.
D’ailleurs, la racine de gingembre est utilisée depuis des millénaires en médecine traditionnelle chinoise pour stimuler la digestion . Cependant, dans la mesure où l’effet de la consommation de gingembre frais sur le processus de digestion n’a pas fait l’objet d’étude clinique bien contrôlée chez l’humain, davantage de recherches pourront éventuellement mener à des conclusions plus précises sur le sujet. Une affaire à suivre donc…
Le gingembre pour éviter les nausées
En 1999, l’Organisation Mondiale de la Santé a reconnu l’utilité du rhizome de gingembre pour lutter contre les nausées et les vomissements de la grossesse. Les gingérols et les shogaols contenus dans le gingembre joueraient un rôle dans l’effet antiémétique, en agissant entre autres sur la réduction des mouvements de l’estomac.
Le gingembre en poudre serait donc une alternative efficace à la vitamine B6 généralement prescrite aux femmes enceintes. D’autant plus qu’il ne provoque aucun effet secondaire…
Le gingembre, un puissant anti-inflammatoire
La médecine ayurvédique indienne utilise le gingembre pour soulager les douleurs reliées à l’arthrite et aux autres rhumatismes inflammatoires. Mais l’Occident reconnaît cet usage traditionnel puisque de récentes études (Phytomedicine 2005) comparent l’efficacité du gingembre à celle de médicaments de dernière génération.
Il est conseillé de consommer du gingembre en poudre puisque 1g de gingembre séché équivaut à 10g de gingembre frais. Parmi les composés les plus reconnus, on peut citer les gingérols dont les effets bénéfiques ont été également observés chez l’animal, mais aussi les shogaols et les paradols qui exerceraient leurs effets par différents mécanismes d’action.
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