Michel Wormser, vice-président et directeur des opérations de l'Agence multilatérale de garantie des investissements (MIGA), l'institution du Groupe de la Banque mondiale responsable de l'assurance contre le risque politique, se déplacera au Sénégal et en Mauritanie du 22 au 24 mai. Pendant son séjour, il rencontrera des représentants du gouvernement et des sociétés privées pour souligner l'importance des investissements étrangers directs (IED) comme moteur de croissance et d'emploi, expliquant aussi comment les instruments d'atténuation des risques que propose la MIGA peuvent favoriser ces investissements.
Cette assurance contre le risque politique fournit aux investisseurs et aux prêteurs une protection contre les obstacles susceptibles de freiner l'investissement dans les pays ayant une mauvaise note souveraine comme site d'investissement, perçus comme présentant des risques d'instabilité politique et de conflit, ou suscitant des craintes quant à la force exécutoire des contrats qui y sont signés, par exemple. Pour la MIGA, l'accompagnement des investissements en Afrique subsaharienne est une priorité, et l'Agence contribue à des programmes dans tous les secteurs sur l'ensemble du continent, intervenant aussi bien sur de grands projets dans les mines, les infrastructures et les télécommunications que sur des opérations à caractère plus limité dans la petite industrie de transformation et l'agroalimentaire.
Au Sénégal, les garanties apportées par la MIGA appuient l'expansion du port de Dakar. L'Agence soutient également un accord innovant de swap de devises en dollars. Le produit des obligations émises dans le cadre de cette opération est utilisé pour financer de nouvelles infrastructures, dont la prolongation de la route à péage desservant le nouvel aéroport international et des investissements clés dans le secteur de l'énergie. La MIGA contribue également à des projets de plus petite envergure dans le secteur des services du pays. Enfin, elle assure contre le risque politique des investissements sénégalais dans le secteur des télécommunications en Guinée, en Guinée-Bissau et au Mali.
En Mauritanie, la MIGA accompagne un investissement dans les télécommunications et est en pourparlers avec des clients qui pourraient investir dans le secteur des infrastructures et des mines.
« Nous ne considérons pas les investissements étrangers directs comme une fin en soi, mais comme un moyen important de stimuler la croissance et de créer des emplois au profit de la population », a déclaré M. Wormser.
Membre du Groupe de la Banque mondiale, la MIGA a été établie en 1988 en vue de promouvoir l’investissement direct étranger dans les économies des pays émergents pour y favoriser la croissance économique, réduire la pauvreté et améliorer l’existence des populations. Elle s’acquitte de ce mandat en proposant aux investisseurs et aux prêteurs une assurance contre les risques politiques, sous forme de garanties couvrant les expropriations, les ruptures de contrats, les restrictions sur les transferts de devises, les guerres et les troubles civils, ainsi que le non-respect des obligations financières souveraines.
Cette assurance contre le risque politique fournit aux investisseurs et aux prêteurs une protection contre les obstacles susceptibles de freiner l'investissement dans les pays ayant une mauvaise note souveraine comme site d'investissement, perçus comme présentant des risques d'instabilité politique et de conflit, ou suscitant des craintes quant à la force exécutoire des contrats qui y sont signés, par exemple. Pour la MIGA, l'accompagnement des investissements en Afrique subsaharienne est une priorité, et l'Agence contribue à des programmes dans tous les secteurs sur l'ensemble du continent, intervenant aussi bien sur de grands projets dans les mines, les infrastructures et les télécommunications que sur des opérations à caractère plus limité dans la petite industrie de transformation et l'agroalimentaire.
Au Sénégal, les garanties apportées par la MIGA appuient l'expansion du port de Dakar. L'Agence soutient également un accord innovant de swap de devises en dollars. Le produit des obligations émises dans le cadre de cette opération est utilisé pour financer de nouvelles infrastructures, dont la prolongation de la route à péage desservant le nouvel aéroport international et des investissements clés dans le secteur de l'énergie. La MIGA contribue également à des projets de plus petite envergure dans le secteur des services du pays. Enfin, elle assure contre le risque politique des investissements sénégalais dans le secteur des télécommunications en Guinée, en Guinée-Bissau et au Mali.
En Mauritanie, la MIGA accompagne un investissement dans les télécommunications et est en pourparlers avec des clients qui pourraient investir dans le secteur des infrastructures et des mines.
« Nous ne considérons pas les investissements étrangers directs comme une fin en soi, mais comme un moyen important de stimuler la croissance et de créer des emplois au profit de la population », a déclaré M. Wormser.
Membre du Groupe de la Banque mondiale, la MIGA a été établie en 1988 en vue de promouvoir l’investissement direct étranger dans les économies des pays émergents pour y favoriser la croissance économique, réduire la pauvreté et améliorer l’existence des populations. Elle s’acquitte de ce mandat en proposant aux investisseurs et aux prêteurs une assurance contre les risques politiques, sous forme de garanties couvrant les expropriations, les ruptures de contrats, les restrictions sur les transferts de devises, les guerres et les troubles civils, ainsi que le non-respect des obligations financières souveraines.