Ensemble pour vaincre les problèmes du tourisme au Sénégal
Notre tourisme a besoin de l'implication au premier degré du chef de l'Etat le Président de la République, a défaut le chef du gouvernement pour présider, ouvrir, accompagner en première ligne toutes les manifestations officielles dédiées au tourisme. Ouverture de la saison, fermeture de la saison, la journée mondiale du tourisme, ainsi que l'inauguration des grands chantiers des opérateurs Sénégalais et pourquoi pas présider à la sortie annuelle des diplômes du secteur du tourisme toutes filières confondues à l'occasion d'une grande cérémonie regroupant toutes les universités les instituts et les écoles de formations spécialisées...
Un poids deux mesures !Les hommes du tourisme qui sont dans l'ombre sont nombreux en citer quelques-uns qui travaillent pour leur unique et propre chapelle est une maladresse Ceci dit je partage l'hommage rendu au Feu Ousmane Masseck Ndiaye a qui j'ai dédié mon ouvrage sur le tourisme qui peine à trouver les fonds pour son édition. Je voudrais dire aussi que je suis pour quelque chose dans le changement d'attitude des autorités actuelles, je veux dire du Président de la République, le nouveau ministre Oumar Gueye pour la nouvelle démarche, rendant visite au patronat du tourisme pour opérer une rupture qui consistait à recevoir les organisations dans la salle de conférence du ministère pour un premier contact. La vérité est que aujourd'hui notre tourisme souffre de l'utilisation optimale des ressources humaines, experts et consultants du secteur du tourisme, une presse spécialisée et des journalistes experts, dans la couverture des activités touristiques, dans la réalisation de documentaires, de reportages, de dossiers de presses fait à la suite d'un éductours dans les zones à vocation touristique pour outiller les journalistes et cela devrait pouvoir se faire avec le soutien du fond de promotion touristique. L'autre grande équation qui est un problème de fond, est le poids et la reconnaissance du patronat du tourisme sénégalais, Cette question est très délicate « je ne vise personne » car entre ceux qui ne sont pas à jour dans leur cotisation et ceux qui n'ont pas les moyens de participer ou d'adhérer, " et qui sont tout aussi performants" sont écartés. Ils ne participent à rien ils sont marginalisés, il ya sans le dire un clientélisme et une puissance face aux plus faibles et moins riches. Le lobby peut exister mais dans la transparence dans l’équilibre et le rassemblement. Il faut un secteur privé structuré, dynamique, fort et outillé pour être en face et en mesure de partager avec le secteur public des projets et de notre schéma directeur d'aménagement touristique qui doit définir les grands choix stratégiques pour la construction d'une véritable industrie touristique performante à l'horizon 2030. Cette volonté passe aussi par l'implication et la participation des universitaires, des experts et des étudiants Masters I et 2 des filières tourisme.
Le problème majeur du tourisme au Sénégal " je ne parle pas du tourisme sénégalais" je fais la différence entre les acteurs« je sais pourquoi » et le secteur du tourisme lui-même.
Le secteur a besoin au- delà des institutions de la république, d’organismes internationaux, de partenaire au développement, d'une organisation patronale forte bien structurée, bien outillée avec des hommes et des femmes exclusivement au service de la réflexion, qui doit être une force autonome et une puissance de propositions, d’accompagnement,d’études, d'audit et de diagnostic de la transversalité des services qui concourent au succès du tourisme, pour aider à une meilleure prise en charge des programmes, en tenant compte de la vision de l’Etat et de l’orientation objective et prospective des politiques et des actions des opérateurs du privé, à l'exemple du lancement au Sénégal d'un « guestforhome » qui entre dans la diversification de l'offre d’hébergement ; La requalification du tourisme chez l’habitant qui entre dans le cadre d’une innovation de taille qui offre un espace utile pour les locations chezl’habitant - solution favorable à un tourisme à visage humain, profitable aux familles et aux populations..
A ce stade, je voudrais partager deux idées de projets que je considère comme innovantes mais chaleureuse et humaine. Il s’agit d’une part d’un hébergement chez l’habitant « je suis très charmé par la vision d’hébergement chez l’habitant à Alexandrie en Egypte et je vais vous dire pourquoi » je suis de ceux qui pensent que pour développer notre tourisme et doubler la capacité d’accueil il faut réinventer le tourisme chez l’habitant au Sénégal surtout dans les zone à revenu moyen ou faible par exemple Saint louis une ville ancienne ceci est un exemple.L’approche de cette vision et du projet est d’identifier des maisons dans différents quartiers de discuter avec les familles des maisons et de trouver deux à trois chambres refaites décorées et qui répondent aux normes et standards. Cela se ferait avec moins d’investissements et en partenariat avec les propriétaires selon un cadre juridique et règlementaire qui garantissent la sécurité la paix la convivialité et le respect de séjours des touristes. Cette vision nous permet d’avoir un maillage complet des régions du Sénégal à fort potentiel d’activités touristique avec un moindre cout d’investissement financier.
L’autre volet concerne le tourisme intérieur avec des circuits touristiques innovants dans un esprit sharing avec les tours operators sénégalais. Exemple Sénégal tours voyage va permettre aux propriétaires de chambres d’être commissionné sur la vente d’un de leurs circuits touristiques ou programmes de séjour.Et pourquoi ne pas permettre à Sénégal tours voyage de mettre en ventes sur son site internet et ses réseaux la vente des chambres chez l’habitant qui possède une meilleure garantie. Voilà des pistes et c’est là le chemin de la prospérité ! Ceci est générateur de revenus et créateur d’emplois qui sont rémunérés en fonctions des ventes en combinaison bien sûre avec l’hébergement chez l’habitant qui permet à une famille d’avoir des revenus, de payer la taxe touristique et de résoudre le problème de la sécurité et de l’accueil des touriste dans les quartiers.
Au Sénégal on ne rend jamais à César ce qui appartient à César, la bataille de l’hôtelMéridienprésident c'est moi Faouzou Dème, une voix autorisée de par mon expérience,mon expertise et mon implication par des contributions constructives, des propositions concrètes, sur la politique de notre tourisme. J’avais porté le combat à mes risques et périls avec des arguments et des contributions pertinentes à chaque fois que de besoin, pour éclairer l'opinion publique.
La nomination du Ministre Youssou Ndour également, je dois avouer être des rares personnes du secteur du tourisme qui ont osé s'exprimer ouvertement et publiquement pour argumenter notre position sur la base de vécues et d'expériences. Des injustices nous les avons subies et nous continuons de les subir, car je suis passé d'opérateur, acteur du tourisme avec des structures opérationnelles à Dakar à Saly, à saint louis, au lac rose, à la somone, aux iles du Saloum etc… Au consultant, chargé de cours et conseiller en tourisme, pour cause de conflit avec mon associé français. Ou j’ai tout perdu sauf ma dignité, mon honorabilité et mes connaissances des sciences du tourisme.
Et je précise que je n'ai vu l'aide ou l'assistance de personne, aucun acteur ou opérateur du tourisme. Je suis à mon deuxième ouvrage sur le tourisme toujours bloqué chez l’éditeur pour paiement… La vérité est que l'on barre la route aux jeunes et aux bonnes volontés qui ont de l'expertise et du savoir. Je lance un appel pour la constitution d'une organisation patronale participative et non passive prête à des revendications à sens unique, sans avoir pris le soin d’être à jour, de se conformer à la réglementation, aux valeurs sociales de l’entreprise et j’en passe… Pour cette réflexion j'avance déjà l’idée " d’un regroupement des professionnels du tourisme, de l’industrie culturelle et de l'artisanat d'art pour être l’organisation fédératrice au plan national et qui va être le représentant de la grande famille du tourisme auprès de l’État, des organismes internationaux etc...Je reste ouvert à la critique et des propositions constructives pour redonner au tourisme ses lettres de noblesses et son rayonnement à l’extérieur et à l’intérieur du pays. Je suis persuadé que cet appel à la construction d'un patronat du tourisme fort sans clivage, ni discrimination, va être un instrument très fort et très utile pour gagner la bataille du développement du tourisme de notre pays et du continent.
Mouhamed Faouzou DEME, Expert en tourisme
Notre tourisme a besoin de l'implication au premier degré du chef de l'Etat le Président de la République, a défaut le chef du gouvernement pour présider, ouvrir, accompagner en première ligne toutes les manifestations officielles dédiées au tourisme. Ouverture de la saison, fermeture de la saison, la journée mondiale du tourisme, ainsi que l'inauguration des grands chantiers des opérateurs Sénégalais et pourquoi pas présider à la sortie annuelle des diplômes du secteur du tourisme toutes filières confondues à l'occasion d'une grande cérémonie regroupant toutes les universités les instituts et les écoles de formations spécialisées...
Un poids deux mesures !Les hommes du tourisme qui sont dans l'ombre sont nombreux en citer quelques-uns qui travaillent pour leur unique et propre chapelle est une maladresse Ceci dit je partage l'hommage rendu au Feu Ousmane Masseck Ndiaye a qui j'ai dédié mon ouvrage sur le tourisme qui peine à trouver les fonds pour son édition. Je voudrais dire aussi que je suis pour quelque chose dans le changement d'attitude des autorités actuelles, je veux dire du Président de la République, le nouveau ministre Oumar Gueye pour la nouvelle démarche, rendant visite au patronat du tourisme pour opérer une rupture qui consistait à recevoir les organisations dans la salle de conférence du ministère pour un premier contact. La vérité est que aujourd'hui notre tourisme souffre de l'utilisation optimale des ressources humaines, experts et consultants du secteur du tourisme, une presse spécialisée et des journalistes experts, dans la couverture des activités touristiques, dans la réalisation de documentaires, de reportages, de dossiers de presses fait à la suite d'un éductours dans les zones à vocation touristique pour outiller les journalistes et cela devrait pouvoir se faire avec le soutien du fond de promotion touristique. L'autre grande équation qui est un problème de fond, est le poids et la reconnaissance du patronat du tourisme sénégalais, Cette question est très délicate « je ne vise personne » car entre ceux qui ne sont pas à jour dans leur cotisation et ceux qui n'ont pas les moyens de participer ou d'adhérer, " et qui sont tout aussi performants" sont écartés. Ils ne participent à rien ils sont marginalisés, il ya sans le dire un clientélisme et une puissance face aux plus faibles et moins riches. Le lobby peut exister mais dans la transparence dans l’équilibre et le rassemblement. Il faut un secteur privé structuré, dynamique, fort et outillé pour être en face et en mesure de partager avec le secteur public des projets et de notre schéma directeur d'aménagement touristique qui doit définir les grands choix stratégiques pour la construction d'une véritable industrie touristique performante à l'horizon 2030. Cette volonté passe aussi par l'implication et la participation des universitaires, des experts et des étudiants Masters I et 2 des filières tourisme.
Le problème majeur du tourisme au Sénégal " je ne parle pas du tourisme sénégalais" je fais la différence entre les acteurs« je sais pourquoi » et le secteur du tourisme lui-même.
Le secteur a besoin au- delà des institutions de la république, d’organismes internationaux, de partenaire au développement, d'une organisation patronale forte bien structurée, bien outillée avec des hommes et des femmes exclusivement au service de la réflexion, qui doit être une force autonome et une puissance de propositions, d’accompagnement,d’études, d'audit et de diagnostic de la transversalité des services qui concourent au succès du tourisme, pour aider à une meilleure prise en charge des programmes, en tenant compte de la vision de l’Etat et de l’orientation objective et prospective des politiques et des actions des opérateurs du privé, à l'exemple du lancement au Sénégal d'un « guestforhome » qui entre dans la diversification de l'offre d’hébergement ; La requalification du tourisme chez l’habitant qui entre dans le cadre d’une innovation de taille qui offre un espace utile pour les locations chezl’habitant - solution favorable à un tourisme à visage humain, profitable aux familles et aux populations..
A ce stade, je voudrais partager deux idées de projets que je considère comme innovantes mais chaleureuse et humaine. Il s’agit d’une part d’un hébergement chez l’habitant « je suis très charmé par la vision d’hébergement chez l’habitant à Alexandrie en Egypte et je vais vous dire pourquoi » je suis de ceux qui pensent que pour développer notre tourisme et doubler la capacité d’accueil il faut réinventer le tourisme chez l’habitant au Sénégal surtout dans les zone à revenu moyen ou faible par exemple Saint louis une ville ancienne ceci est un exemple.L’approche de cette vision et du projet est d’identifier des maisons dans différents quartiers de discuter avec les familles des maisons et de trouver deux à trois chambres refaites décorées et qui répondent aux normes et standards. Cela se ferait avec moins d’investissements et en partenariat avec les propriétaires selon un cadre juridique et règlementaire qui garantissent la sécurité la paix la convivialité et le respect de séjours des touristes. Cette vision nous permet d’avoir un maillage complet des régions du Sénégal à fort potentiel d’activités touristique avec un moindre cout d’investissement financier.
L’autre volet concerne le tourisme intérieur avec des circuits touristiques innovants dans un esprit sharing avec les tours operators sénégalais. Exemple Sénégal tours voyage va permettre aux propriétaires de chambres d’être commissionné sur la vente d’un de leurs circuits touristiques ou programmes de séjour.Et pourquoi ne pas permettre à Sénégal tours voyage de mettre en ventes sur son site internet et ses réseaux la vente des chambres chez l’habitant qui possède une meilleure garantie. Voilà des pistes et c’est là le chemin de la prospérité ! Ceci est générateur de revenus et créateur d’emplois qui sont rémunérés en fonctions des ventes en combinaison bien sûre avec l’hébergement chez l’habitant qui permet à une famille d’avoir des revenus, de payer la taxe touristique et de résoudre le problème de la sécurité et de l’accueil des touriste dans les quartiers.
Au Sénégal on ne rend jamais à César ce qui appartient à César, la bataille de l’hôtelMéridienprésident c'est moi Faouzou Dème, une voix autorisée de par mon expérience,mon expertise et mon implication par des contributions constructives, des propositions concrètes, sur la politique de notre tourisme. J’avais porté le combat à mes risques et périls avec des arguments et des contributions pertinentes à chaque fois que de besoin, pour éclairer l'opinion publique.
La nomination du Ministre Youssou Ndour également, je dois avouer être des rares personnes du secteur du tourisme qui ont osé s'exprimer ouvertement et publiquement pour argumenter notre position sur la base de vécues et d'expériences. Des injustices nous les avons subies et nous continuons de les subir, car je suis passé d'opérateur, acteur du tourisme avec des structures opérationnelles à Dakar à Saly, à saint louis, au lac rose, à la somone, aux iles du Saloum etc… Au consultant, chargé de cours et conseiller en tourisme, pour cause de conflit avec mon associé français. Ou j’ai tout perdu sauf ma dignité, mon honorabilité et mes connaissances des sciences du tourisme.
Et je précise que je n'ai vu l'aide ou l'assistance de personne, aucun acteur ou opérateur du tourisme. Je suis à mon deuxième ouvrage sur le tourisme toujours bloqué chez l’éditeur pour paiement… La vérité est que l'on barre la route aux jeunes et aux bonnes volontés qui ont de l'expertise et du savoir. Je lance un appel pour la constitution d'une organisation patronale participative et non passive prête à des revendications à sens unique, sans avoir pris le soin d’être à jour, de se conformer à la réglementation, aux valeurs sociales de l’entreprise et j’en passe… Pour cette réflexion j'avance déjà l’idée " d’un regroupement des professionnels du tourisme, de l’industrie culturelle et de l'artisanat d'art pour être l’organisation fédératrice au plan national et qui va être le représentant de la grande famille du tourisme auprès de l’État, des organismes internationaux etc...Je reste ouvert à la critique et des propositions constructives pour redonner au tourisme ses lettres de noblesses et son rayonnement à l’extérieur et à l’intérieur du pays. Je suis persuadé que cet appel à la construction d'un patronat du tourisme fort sans clivage, ni discrimination, va être un instrument très fort et très utile pour gagner la bataille du développement du tourisme de notre pays et du continent.
Mouhamed Faouzou DEME, Expert en tourisme