C’est amers que les responsables de Pastef ont fait face à la presse pour dénoncer la suspension «illégale» de leur leader. Leader qui n’a fait que dénoncer des pratiques nauséeuses dans les sphères de l’Etat, disent-ils.
«Le tort de Ousmane Sonko, c’est juste d’avoir dénoncé le pillage en règle de notre pays par un homme, sa famille et son clan. On lui reproche d’avoir relevé que le Sénégal figure parmi les 25 pays les plus pauvres du monde et qu’il n’a pas besoin d’un lion qui dort, mais d’un lion bien affamé pour les conquêtes économiques et sociales pour le bien du Sénégal. C’est ce qu’on lui reproche», a regretté Biram Souley Diop, l’administrateur du parti. Car, se demande-t-il : «En quoi, commenter des informations officielles est-ce violer le droit de réserve ? Sonko va dans le site du ministère de l’Economie, trouve un document qui date de 2015 qui dit que l’assemblée nationale doit 2.7 milliards. Il l’interprète et on dit qu’il a violé son devoir de réserve. L’Ofnac et l’Ige font leur rapports Ousmane Sonko les saisit comme tout citoyen et fait une lecture transversale et croisée pour dire voilà les conclusions que j’en tire ont dit que ce monsieur a violé son droit de réserve. Quand on regarde les postes budgétaires qui engagent l’organisation du référendum, c’est le ministère de l’intérieur, la direction générale des élections et la Céna qui sont concernés. Quand on voit dans la loi de finance initiale et la loi de finances rectificative, on voit une progression de 10 milliards (3 milliards mentionnées, 7 milliards de plus). On dit qu’il y a violation du droit de réserve», s’offusque M. Diop. «Comment bon sang par une lecture des documents qui sont dans le domaine public, on peut reprocher à quelqu’un de faire dans la violation du droit de réserve. En quoi la dénonciation des fraudes du détournement des deniers publics, l’information juste que l’on met entre les mains du peuple souverain, celui-là qui est le délégataire de l’exercice du pouvoir politique, comment on peut dire que cela devienne répréhensible. Dans un pays, quand dire la vérité devient un crime, on a toutes les raisons de s’inquiéter », peste-t-il.
SENEWEB
«Le tort de Ousmane Sonko, c’est juste d’avoir dénoncé le pillage en règle de notre pays par un homme, sa famille et son clan. On lui reproche d’avoir relevé que le Sénégal figure parmi les 25 pays les plus pauvres du monde et qu’il n’a pas besoin d’un lion qui dort, mais d’un lion bien affamé pour les conquêtes économiques et sociales pour le bien du Sénégal. C’est ce qu’on lui reproche», a regretté Biram Souley Diop, l’administrateur du parti. Car, se demande-t-il : «En quoi, commenter des informations officielles est-ce violer le droit de réserve ? Sonko va dans le site du ministère de l’Economie, trouve un document qui date de 2015 qui dit que l’assemblée nationale doit 2.7 milliards. Il l’interprète et on dit qu’il a violé son devoir de réserve. L’Ofnac et l’Ige font leur rapports Ousmane Sonko les saisit comme tout citoyen et fait une lecture transversale et croisée pour dire voilà les conclusions que j’en tire ont dit que ce monsieur a violé son droit de réserve. Quand on regarde les postes budgétaires qui engagent l’organisation du référendum, c’est le ministère de l’intérieur, la direction générale des élections et la Céna qui sont concernés. Quand on voit dans la loi de finance initiale et la loi de finances rectificative, on voit une progression de 10 milliards (3 milliards mentionnées, 7 milliards de plus). On dit qu’il y a violation du droit de réserve», s’offusque M. Diop. «Comment bon sang par une lecture des documents qui sont dans le domaine public, on peut reprocher à quelqu’un de faire dans la violation du droit de réserve. En quoi la dénonciation des fraudes du détournement des deniers publics, l’information juste que l’on met entre les mains du peuple souverain, celui-là qui est le délégataire de l’exercice du pouvoir politique, comment on peut dire que cela devienne répréhensible. Dans un pays, quand dire la vérité devient un crime, on a toutes les raisons de s’inquiéter », peste-t-il.
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