Le président de la République, Bassirou Diomaye Faye était ce samedi à Mbour pour lancer les activités de la 5ème Journée de mobilisation (Sétal sunu reew), consacrée aux établissement scolaires. Où étant, il a déclaré : « nous devons croire ici que c’est à nous de bâtir notre pays. Il n’y a pas de miracle, c’est l’effort et l’objectif commun que nous devons avoir pour faire progresser notre pays. Et pour cela, au quotidien, chacun de nous doit se considérer comme étant le maillon essentiel de la transformation systémique pour transformer notre pays »
Et de poursuivre : « il n’y a pas de miracle. Tous les pays sont construits par des êtres humains. Les gens ont connu la guerre, la dictature, la famine, la pauvreté mais ils sont restés et se sont serrés la ceinture pour travailler et changer le visage de leur pays ».
Abordant le sujet de la migration irrégulière, il a indiqué : « les jeunes qui étudient doivent avoir la patience et savoir qu’il y a un temps de formatage, d’apprentissage, d’acquisition d’expérience, de recherche du travail avant de considérer qu’il faut aller dans ce péril de l’émigration irrégulière qui en dernier ressort ne doit pas être là solution. L’émigration semble aujourd’hui n’être motivée que par la recherche de l’argent, de biens matériels, du confort et des choses éphémères”, au moment où, ”dans le cadre de cette compétition-là, toutes les valeurs basculent y compris la valeur fondamentale à savoir le respect de la vie humaine ». Il conclut en demandant aux familles à ”plus d’indulgence vis-à-vis des jeunes dans les foyers”.
EMEDIA
Et de poursuivre : « il n’y a pas de miracle. Tous les pays sont construits par des êtres humains. Les gens ont connu la guerre, la dictature, la famine, la pauvreté mais ils sont restés et se sont serrés la ceinture pour travailler et changer le visage de leur pays ».
Abordant le sujet de la migration irrégulière, il a indiqué : « les jeunes qui étudient doivent avoir la patience et savoir qu’il y a un temps de formatage, d’apprentissage, d’acquisition d’expérience, de recherche du travail avant de considérer qu’il faut aller dans ce péril de l’émigration irrégulière qui en dernier ressort ne doit pas être là solution. L’émigration semble aujourd’hui n’être motivée que par la recherche de l’argent, de biens matériels, du confort et des choses éphémères”, au moment où, ”dans le cadre de cette compétition-là, toutes les valeurs basculent y compris la valeur fondamentale à savoir le respect de la vie humaine ». Il conclut en demandant aux familles à ”plus d’indulgence vis-à-vis des jeunes dans les foyers”.
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