Le pastoralisme reste au cœur du développement économique dans le Sahel compte tenu de l’impulsion ‘’significative’’ de ce secteur, a relevé Oumar Sarr, secrétaire général du ministère de l’Elevage et des Productions animales.
’’’L’élevage pastoral occupe plus de 2/3 du cheptel national et fournit l’essentiel des produits d’élevage et laitiers. En ce sens, le groupement d’intérêt scientifique animé par quatre institutions majeures, nationales et internationales, a donné une impulsion significative à la légitimation du pastoralisme au Sahel’’, a indiqué M. Sarr.
Il présidait, mardi, à Dakar, la réunion du conseil scientifique et administratif du Groupement d’intérêt scientifique du pôle pastoralisme et zones sèches (GIS-PPZS).
’’La production de connaissances scientifiques, la validation d’un savoir local et sa diffusion, la construction d’outils de gestion durable des ressources pastorales ont été les grands axes d’intervention, car contribuant aux résultats les plus prometteurs’’, a expliqué M. Sarr.
Le pôle est une structure caractérisée par l’interdisciplinarité et dont les différents acteurs s’activent autour d’un objectif commun, qui est l’amélioration de la gestion des ressources pastorales et des performances économiques de l’élevage pastoral, a-t- il indiqué.
’’Les étapes de la recherche sont très prometteuses et des perspectives encourageantes sont notées’’, a-t-il fait remarquer, invitant les acteurs à mettre tout cela à profit. Il devra en être aussi de même pour l’élaboration des futurs projets.
APS
’’’L’élevage pastoral occupe plus de 2/3 du cheptel national et fournit l’essentiel des produits d’élevage et laitiers. En ce sens, le groupement d’intérêt scientifique animé par quatre institutions majeures, nationales et internationales, a donné une impulsion significative à la légitimation du pastoralisme au Sahel’’, a indiqué M. Sarr.
Il présidait, mardi, à Dakar, la réunion du conseil scientifique et administratif du Groupement d’intérêt scientifique du pôle pastoralisme et zones sèches (GIS-PPZS).
’’La production de connaissances scientifiques, la validation d’un savoir local et sa diffusion, la construction d’outils de gestion durable des ressources pastorales ont été les grands axes d’intervention, car contribuant aux résultats les plus prometteurs’’, a expliqué M. Sarr.
Le pôle est une structure caractérisée par l’interdisciplinarité et dont les différents acteurs s’activent autour d’un objectif commun, qui est l’amélioration de la gestion des ressources pastorales et des performances économiques de l’élevage pastoral, a-t- il indiqué.
’’Les étapes de la recherche sont très prometteuses et des perspectives encourageantes sont notées’’, a-t-il fait remarquer, invitant les acteurs à mettre tout cela à profit. Il devra en être aussi de même pour l’élaboration des futurs projets.
APS