C’est un Baba Tandian amer qui déverse sa bile sur « quelqu'un » qui a réussi à « dénormaliser » les acteurs du monde sportif, ce, après un énorme travail abattu dans l’amélioration des textes du basket-ball. « Ces textes étaient si bien faits que beaucoup de fédérations nous envient puisqu’ils sont élaborés par des sommités du basket sénégalais comme Serigne Lamine Diop, Ablaye Sèye Moreau et enfin Ibou Diagne », confie l’ex patron du basket sénégalais qui ne cesse de regretter l’acte de Mbagnick Ndiaye qui aurait détruit « un travail de 3 ans effectué sans interruption par des passionnés du basket-ball qui se sont sacrifiés ». Ce faisant, l’actuel ministre de la Culture et de la Communication, déclare Baba Tandian, « oublie lui-même qu'il n'a jamais donné 1 franc de subvention au basket ».
Dans un contexte de grandes réformes du basket national, l’ancien président de la Fédération de basket indique qu’il fallait tout chercher « par nos propres moyens », rappelant que c’est dans le département des Sports que notre pays a eu de « grands messieurs d’une élégance remarquable dans l’habillement ».
M. Tandian de citer, comme étant de fortes personnalités, François Bopp, Lamine Diack, Malick Sy Souris, Daouda Faye « Vava », Lamine Keïta, « pourtant qualifié à l'époque de ministre biberon », se souvient-il encore. Parmi ces personnalités, Abdoulaye Matar Diop sortirait du lot comme le souligne Tandian puisque c’est lui qu’il appelle « l'homme aux costumes griffés », par opposition à Mbagnick Ndiaye qui serait le ministre le plus mal fagoté du gouvernement de Macky Sall ».
Chose paradoxale, dit Baba Tandian qui fait remarquer : « Pourtant le président Macky Sall avait la casquette du plus grand sapeur du gouvernement de Wade ». En plus, soutient-il, « l'homme est resté égal à lui-même pendant sa traversée du désert et c'est là que bon nombre d'observateurs ne comprennent pas comment on peut s'habiller aussi mal et s'asseoir à la même table avec quelqu'un connu pour son goût de l'habillement ».
Au début de sa nomination au département du sport, Baba Tandian dit avoir eu la honte du monde de présenter Mbagnick Ndiaye à ses partenaires du basket à cause du look de ce dernier « qui ressemble plus à ce truc qu'on rencontre dans la forêt ». « Ce fut aussi le cas « lors de la finale de basket, accompagné de son collègue le ministre des Sports de la Colombie, Mbagnick Ndiaye est arrivé au stade Marius Ndiaye plein à craquer avec une tenue saharienne à carreau, un truc ressemblant à une tenue de bagnard, avec un pantalon (bas éléphant) et chaussé de sandales », se désole-t-il avant de s’exclamer en ces termes : « Il faut s'appeler Mbagnick pour faire ça ».
« Je n'ai même pas osé le présenter à mon invité du jour de la Mauritanie et de la Tunisie sans compter, les vestes qui ressemblent plus à des « mini sabadors » où on aperçoit sur les manches que le bout du doigt le plus long. Certains, y compris lui-même, comprendront pourquoi je ne lui ai pas présenté mes invités prestigieux du basket que sont le président de Qatar Basket, frère de l'Émir du Qatar, le président de Fédération espagnole de basket et enfin le président de la Fédération française de basket, mais l'homme a montré non seulement son incapacité à diriger un ministère mais pire, sur le plan politique, il est dangereux même pour les gens qui l'ont nommé », persiste et signe Baba Tandian qui se désole de constater que « c'est ce monsieur qu'on veut laisser prendre la parole devant les intellectuels du monde de la Francophonie. C'est désolant, le Sénégal mérite mieux que ça ».
Direct Info
Dans un contexte de grandes réformes du basket national, l’ancien président de la Fédération de basket indique qu’il fallait tout chercher « par nos propres moyens », rappelant que c’est dans le département des Sports que notre pays a eu de « grands messieurs d’une élégance remarquable dans l’habillement ».
M. Tandian de citer, comme étant de fortes personnalités, François Bopp, Lamine Diack, Malick Sy Souris, Daouda Faye « Vava », Lamine Keïta, « pourtant qualifié à l'époque de ministre biberon », se souvient-il encore. Parmi ces personnalités, Abdoulaye Matar Diop sortirait du lot comme le souligne Tandian puisque c’est lui qu’il appelle « l'homme aux costumes griffés », par opposition à Mbagnick Ndiaye qui serait le ministre le plus mal fagoté du gouvernement de Macky Sall ».
Chose paradoxale, dit Baba Tandian qui fait remarquer : « Pourtant le président Macky Sall avait la casquette du plus grand sapeur du gouvernement de Wade ». En plus, soutient-il, « l'homme est resté égal à lui-même pendant sa traversée du désert et c'est là que bon nombre d'observateurs ne comprennent pas comment on peut s'habiller aussi mal et s'asseoir à la même table avec quelqu'un connu pour son goût de l'habillement ».
Au début de sa nomination au département du sport, Baba Tandian dit avoir eu la honte du monde de présenter Mbagnick Ndiaye à ses partenaires du basket à cause du look de ce dernier « qui ressemble plus à ce truc qu'on rencontre dans la forêt ». « Ce fut aussi le cas « lors de la finale de basket, accompagné de son collègue le ministre des Sports de la Colombie, Mbagnick Ndiaye est arrivé au stade Marius Ndiaye plein à craquer avec une tenue saharienne à carreau, un truc ressemblant à une tenue de bagnard, avec un pantalon (bas éléphant) et chaussé de sandales », se désole-t-il avant de s’exclamer en ces termes : « Il faut s'appeler Mbagnick pour faire ça ».
« Je n'ai même pas osé le présenter à mon invité du jour de la Mauritanie et de la Tunisie sans compter, les vestes qui ressemblent plus à des « mini sabadors » où on aperçoit sur les manches que le bout du doigt le plus long. Certains, y compris lui-même, comprendront pourquoi je ne lui ai pas présenté mes invités prestigieux du basket que sont le président de Qatar Basket, frère de l'Émir du Qatar, le président de Fédération espagnole de basket et enfin le président de la Fédération française de basket, mais l'homme a montré non seulement son incapacité à diriger un ministère mais pire, sur le plan politique, il est dangereux même pour les gens qui l'ont nommé », persiste et signe Baba Tandian qui se désole de constater que « c'est ce monsieur qu'on veut laisser prendre la parole devant les intellectuels du monde de la Francophonie. C'est désolant, le Sénégal mérite mieux que ça ».
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