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Le chef de l'Etat, qui a entamé une tournée économique dans la vallée du fleuve Sénégal, s’est notamment rendu sur des exploitations agricoles dans les départements de Saint-Louis et Dagana.
La mise en service de ce pont devra notamment permettre d’améliorer la valorisation des potentialités agro-pastorales, halieutiques et sylvicoles de la vallée du fleuve Sénégal et de l’île à Morphil en particulier, tout en fluidifiant les échanges socio-économiques.
Les échanges entre le walo (zone agricole) et le diéri (zone pastorale) était jusque-là assurés par un bac vétuste de 20 tonnes et des pirogues.
L'ouvrage de franchissement est un pont à poutres sous chaussée en béton armé de 160 mètres de long, avec deux bretelles d’accès, dont une au sud longue de 750 kilomètres reliant le pont à la route nationale 2, et une au nord, longue de 550 mètres reliant le pont à la route régionale.
Le pont est constitué de neuf travées de 17, 80 mètres de long chacune, s’appuyant sur deux culées et huit piles en béton armé. Chaque pile est constituée par un voile de 1, 20 mètres d’épaisseur surmonté par un chevêtre de 1, 70 mètres de large et de hauteur variable.
Les culées sont constituées par des voiles, comportant chacune un mur de front de 90 centimètres d’épaisseur, un mur de grève de 25 centimètres et des murs en retour de 35 centimètres d’épaisseur.
Le tablier du pont supporte une chaussée de 7, 40 mètres de large (deux voies de 3, 7 mètres chacune) et un trottoir de 1, 5 mètres de part et d’autre, soit une largeur totale de 10, 40 mètres.
Les bretelles d’accès ont une largeur de 10, 20 mètres avec une structure de chaussée composée de 20 centimètres de latérite en fondation, 15 centimètres de latérite améliorée au ciment en couche base et 5 centimètres de béton bitumineux en couche de revêtement.
Le pont est équipé avec des gardes corps et une glissière de sécurité sur les zones de remblai des bretelles.
La construction du pont a coûté 7, 8 milliards de francs entièrement financés par les Etats-Unis dans le cadre de l’exécution dans le nord du Sénégal du Millenium challenge corporation (MCC).
Sa réalisation s'inscrit dans le cadre d'un accord de don d’un montant de 270 milliards de francs CFA, conclu en septembre 2009 avec le gouvernement des Etats-Unis d’Amérique. Le projet s’étale sur six ans et doit s’achever en 2015.
La mise en service de ce pont devra notamment permettre d’améliorer la valorisation des potentialités agro-pastorales, halieutiques et sylvicoles de la vallée du fleuve Sénégal et de l’île à Morphil en particulier, tout en fluidifiant les échanges socio-économiques.
Les échanges entre le walo (zone agricole) et le diéri (zone pastorale) était jusque-là assurés par un bac vétuste de 20 tonnes et des pirogues.
L'ouvrage de franchissement est un pont à poutres sous chaussée en béton armé de 160 mètres de long, avec deux bretelles d’accès, dont une au sud longue de 750 kilomètres reliant le pont à la route nationale 2, et une au nord, longue de 550 mètres reliant le pont à la route régionale.
Le pont est constitué de neuf travées de 17, 80 mètres de long chacune, s’appuyant sur deux culées et huit piles en béton armé. Chaque pile est constituée par un voile de 1, 20 mètres d’épaisseur surmonté par un chevêtre de 1, 70 mètres de large et de hauteur variable.
Les culées sont constituées par des voiles, comportant chacune un mur de front de 90 centimètres d’épaisseur, un mur de grève de 25 centimètres et des murs en retour de 35 centimètres d’épaisseur.
Le tablier du pont supporte une chaussée de 7, 40 mètres de large (deux voies de 3, 7 mètres chacune) et un trottoir de 1, 5 mètres de part et d’autre, soit une largeur totale de 10, 40 mètres.
Les bretelles d’accès ont une largeur de 10, 20 mètres avec une structure de chaussée composée de 20 centimètres de latérite en fondation, 15 centimètres de latérite améliorée au ciment en couche base et 5 centimètres de béton bitumineux en couche de revêtement.
Le pont est équipé avec des gardes corps et une glissière de sécurité sur les zones de remblai des bretelles.
La construction du pont a coûté 7, 8 milliards de francs entièrement financés par les Etats-Unis dans le cadre de l’exécution dans le nord du Sénégal du Millenium challenge corporation (MCC).
Sa réalisation s'inscrit dans le cadre d'un accord de don d’un montant de 270 milliards de francs CFA, conclu en septembre 2009 avec le gouvernement des Etats-Unis d’Amérique. Le projet s’étale sur six ans et doit s’achever en 2015.
