Le ministre a d’abord rappelé l’importance du tourisme qui fait partie des secteurs prioritaires et figure parmi les sept (07) moteurs de croissance du Plan Sénégal Emergent, avec une contribution de 6 % au PIB et plus de 100 000 emplois directs et indirects.
Rappelant le contexte et les défis auxquels le tourisme est actuellement confronté, le ministre a indiqué que le Sénégal a aussi vu son secteur touristique très affecté par la récente crise sanitaire, à l’instar d’autres pays du monde.
C’est ainsi qu’il a déclaré que la relance post-Covid engendre plus d’efforts, dans un élan participatif et inclusif, pour maintenir le secteur porteur et créateur de richesses.
Selon Mame Mbaye Niang qui a salué l’opportunité de la convention avec la Délégation à l’Entreprenariat Rapide pour les Femmes et les Jeunes (DER/FJ), elle permettra de mieux soutenir les acteurs du tourisme et des loisirs dans la création et le développement de leurs activités génératrices de revenus.
Il s’agit surtout de contribuer à la digitalisation du secteur afin d’améliorer et de rendre plus performant l’image de l’institution, d’accroitre la créativité mais aussi de promouvoir les entreprises touristiques et réaffirmer leur place dans le paysage économique, social ou culturel du pays.
En même temps, à travers des partenariats avec les secteurs public et privé, la DER/FJ s’emploie à renforcer les capacités techniques et managériales des femmes et des jeunes sur l’ensemble du territoire pour leur assurer une inclusion financière et socioéconomique.
Pour son délégué général, Mame Aby Sèye, ce « partenariat symbolique » marque une étape importante dans la dynamique de mutualisation des efforts entre son institution et le ministère du Tourisme et des Loisirs.
En cinq ans d’existence, la DER/FJ a fait plus de 230 mille bénéficiaires de crédits directs pour une enveloppe de 110 milliards FCFA, a rappelé Mme Sèye qui s’est réjouie de ce nouveau cadre de « promotion l’entreprenariat au Sénégal. »
Pour ses projets à court et moyen termes, le Délégué général ambitionne de « démultiplier les sources de financements » et « mutualiser davantage ses efforts » avec les institutions publiques et privées, conformément à sa vision d’équité territoriale et de valorisation du potentiel des terroirs.
Rappelant le contexte et les défis auxquels le tourisme est actuellement confronté, le ministre a indiqué que le Sénégal a aussi vu son secteur touristique très affecté par la récente crise sanitaire, à l’instar d’autres pays du monde.
C’est ainsi qu’il a déclaré que la relance post-Covid engendre plus d’efforts, dans un élan participatif et inclusif, pour maintenir le secteur porteur et créateur de richesses.
Selon Mame Mbaye Niang qui a salué l’opportunité de la convention avec la Délégation à l’Entreprenariat Rapide pour les Femmes et les Jeunes (DER/FJ), elle permettra de mieux soutenir les acteurs du tourisme et des loisirs dans la création et le développement de leurs activités génératrices de revenus.
Il s’agit surtout de contribuer à la digitalisation du secteur afin d’améliorer et de rendre plus performant l’image de l’institution, d’accroitre la créativité mais aussi de promouvoir les entreprises touristiques et réaffirmer leur place dans le paysage économique, social ou culturel du pays.
En même temps, à travers des partenariats avec les secteurs public et privé, la DER/FJ s’emploie à renforcer les capacités techniques et managériales des femmes et des jeunes sur l’ensemble du territoire pour leur assurer une inclusion financière et socioéconomique.
Pour son délégué général, Mame Aby Sèye, ce « partenariat symbolique » marque une étape importante dans la dynamique de mutualisation des efforts entre son institution et le ministère du Tourisme et des Loisirs.
En cinq ans d’existence, la DER/FJ a fait plus de 230 mille bénéficiaires de crédits directs pour une enveloppe de 110 milliards FCFA, a rappelé Mme Sèye qui s’est réjouie de ce nouveau cadre de « promotion l’entreprenariat au Sénégal. »
Pour ses projets à court et moyen termes, le Délégué général ambitionne de « démultiplier les sources de financements » et « mutualiser davantage ses efforts » avec les institutions publiques et privées, conformément à sa vision d’équité territoriale et de valorisation du potentiel des terroirs.