Le Cusems va observer un débrayage, les jeudi 22 et vendredi 23 janvier. A cause de la réduction drastique des budgets des établissements scolaires et le non-respect des engagements pris par le Gouvernement.
Le Secrétaire général dudit syndical, Abdoulaye Ndoye, d’exiger du gouvernement la correction de « toutes ces distorsions préjudiciables à la stabilité de l’école ».
Parce que, rappelle M. Ndoye, le paiement des indemnités du bac n’est toujours pas effectif. Et de nombreux enseignants contractuels n’ont pas également perçu leur salaire du mois de décembre.
« Le paiement des heures supplémentaires, poursuit-il, accusent un retard de plusieurs années ». Les autres manquements sont entre autres, la délivrance des actes de reclassement, d’avancement, des matricules, la formation diplômante des professeurs.
Par conséquent, ajoute Abdoulaye Ndoye, « le Cusems, après avoir alerté les autorités, les partenaires de l’Ecole se retrouvent contraints d’user de l’arme de la grève pour rappeler les autorités leurs responsabilités ».
Le Secrétaire général dudit syndical, Abdoulaye Ndoye, d’exiger du gouvernement la correction de « toutes ces distorsions préjudiciables à la stabilité de l’école ».
Parce que, rappelle M. Ndoye, le paiement des indemnités du bac n’est toujours pas effectif. Et de nombreux enseignants contractuels n’ont pas également perçu leur salaire du mois de décembre.
« Le paiement des heures supplémentaires, poursuit-il, accusent un retard de plusieurs années ». Les autres manquements sont entre autres, la délivrance des actes de reclassement, d’avancement, des matricules, la formation diplômante des professeurs.
Par conséquent, ajoute Abdoulaye Ndoye, « le Cusems, après avoir alerté les autorités, les partenaires de l’Ecole se retrouvent contraints d’user de l’arme de la grève pour rappeler les autorités leurs responsabilités ».