Le Centre d’enseignement technique féminin (Cetf) de Podor a validé, le 19 décembre 2011, son projet d’établissement. Cette initiative est née de la volonté du ministère de l’Enseignement Technique et de la Formation Professionnelle de mettre en œuvre l’autonomisation de la gestion des structures de formation. Ibra Diène, directeur de cabinet du ministère de l’Enseignement Technique et de la Formation Professionnelle, à la tête d’une équipe de facilitateurs, a conduit les travaux de validation, grâce à la démarche Map (Méthode avancée de participation), qui facilite l’expression et l’obtention rapide de consensus de plusieurs acteurs de différents niveaux d’approche.
En introduction, il a présenté les trois axes du Programme décennal de l’éducation et de la formation (Pdef), qui sont l’élargissement de l’accès à la formation, l’amélioration de la qualité de l’offre de la formation et de la gestion du système. Le directeur de cabinet est aussi revenu sur la dévolution de certains pouvoirs de l’Etat aux collectivités locales et qui entrent dans le cadre d’un renforcement de pouvoir, « qui établit une relation d’échanges et de négociations entre le pouvoir central et les acteurs sur le terrain ». Ces acteurs vont de l’enseignant à l’élève, aux parents d’élèves et aux collectivités locales. Il s’agit « d’une avancée pour l’organisation de notre environnement scolaire sur des bases saines, par une véritable ouverture sur l’autre », déclare M. Diène.
Ndèye Aram Diack, directrice du Cetf de Podor, souligne qu’il y a, au Sénégal, « plusieurs emplois latents. C’est à cette vision des choses que l’on est arrivé, avec notre collaboration avec SEN/O24, aux Programmes indicatifs de coopération (Pic) ». Les Programmes indicatifs de coopération, en plus de favoriser la promotion des catégories démunies, encouragent les approches de discrimination positive et veillent à ce qu’elles rejoignent, par leur niveau de vie et privilèges, les autres couches de la population, soutient la directrice du Cetf de Podor.
Amadou Diagne NIANG
En introduction, il a présenté les trois axes du Programme décennal de l’éducation et de la formation (Pdef), qui sont l’élargissement de l’accès à la formation, l’amélioration de la qualité de l’offre de la formation et de la gestion du système. Le directeur de cabinet est aussi revenu sur la dévolution de certains pouvoirs de l’Etat aux collectivités locales et qui entrent dans le cadre d’un renforcement de pouvoir, « qui établit une relation d’échanges et de négociations entre le pouvoir central et les acteurs sur le terrain ». Ces acteurs vont de l’enseignant à l’élève, aux parents d’élèves et aux collectivités locales. Il s’agit « d’une avancée pour l’organisation de notre environnement scolaire sur des bases saines, par une véritable ouverture sur l’autre », déclare M. Diène.
Ndèye Aram Diack, directrice du Cetf de Podor, souligne qu’il y a, au Sénégal, « plusieurs emplois latents. C’est à cette vision des choses que l’on est arrivé, avec notre collaboration avec SEN/O24, aux Programmes indicatifs de coopération (Pic) ». Les Programmes indicatifs de coopération, en plus de favoriser la promotion des catégories démunies, encouragent les approches de discrimination positive et veillent à ce qu’elles rejoignent, par leur niveau de vie et privilèges, les autres couches de la population, soutient la directrice du Cetf de Podor.
Amadou Diagne NIANG