En ce mercredi 5 juin 2013, c’est un devoir pour nous ou bien même une obligation en tant que fils du terroir et apprenti géographe de faire un diagnostic sur l état de l environnement dans notre localité à savoir la communauté rurale de GANDON.
Les problèmes environnementaux constituent une véritable menace à la santé des populations à l’habitat et à la survie des activités liées à l agriculture, principale activité de la zone, à l’élevage et à la pêche.
Nous pensons même que cette journée serait une occasion à nos autorités en charge du développement de la localité de statuer sur la question dans un contexte de développement durable (aujourd hui véritable et incontournable référence).
A la place de ces autorités locales nous prenons la responsabilité d’apporter notre modeste contribution en donnant notre point de vue sur une infrastructure située entre Gandon et Rao et destinée à accueillir les ordures de la commune de saint louis en l’occurrence le Centre d’Enfouillissement Technique ou Centre d Encombrement Technique de Saint louis. Cette installation se transforme en véritable décharge sauvage, me poussant même à l’égaler à celle de M beubeuss .
La présence de cet infrastructure à proximité de la route nationale 2, qui est tout sauf un centre d enfouillssement car ne répondant aucune norme d un CET est une préoccupation environnementale qu’il convient de régler dans les meilleurs délais, afin d obtenir un bon cadre de vie.
Ce décharge comme celui de Mbeubeuss « constitue un obstacle majeur dans l'aménagement de cette zone en ce sens qu'elle modifie sensiblement le paysage péri urbain, et porte atteinte à la santé des populations.
Sans oublier les nombreuses nuisances causées par la décharge aux populations habitant la localité liées à : l’intensité du trafic des camions et la pollution sonore ; les odeurs ; la fumée ; la poussière ; la prolifération des mouches, de rongeurs et d'oiseaux rapaces ; la pollution de la nappe phréatiques et des eaux de ruissellement ». En l’absence d’une gestion professionnelle, la décharge est devenue un véritable dépotoir sauvage qui constitue une menace sur l’environnement et la santé des populations de Gandon, Ngaye Ngaye Rao N dialakhar Rao Peulh Minguegne etc.
Présentement toujours comme Mbeubeuss, « le centre est géré comme un gigantesque dépotoir sauvage, (sans règles techniques de gestion d’une décharge contrôlée). Les pratiques précédentes d'enfouissement des déchets consistaient en un déchargement des déchets sans aucun compactage ni couverture. Un brûlage des déchets à l'air libre a lieu de temps à temps. Ces pratiques sont écologiquement inacceptables et ont été à l'origine de nuisances considérables pour les zones d’habitations avoisinantes ».
Pollution du sol, du sous-sol et des eaux souterraines ; infection de la nappe phréatique, les odeurs, La pollution atmosphérique et la poussière etc. s ajoutent à la liste des néfastes conséquences. Le site est le théâtre d’une véritable catastrophe écologique avec la contamination irréversible du site (sols et sous-sol).
La position du site à zéro mètre de Ndialaxar « potentiel et levier auquel la localité doit s appuyer pour son développement » est un danger énorme.
Par conséquent nous proposons comme solutions
- la fermeture de la décharge autrement dit arrêt de l exploitation d autant plus que seules les ordures de la commune même se contente d une étude d impact environnemental faite selon eux avant l installation. Mais nous pouvons leur dire ce n est même plus nécessaire d effectuer un audit environnemental car il suffit de passer à coter pour savoir qu’il y a atteinte.
- la réhabilitation viable de l écologie : remise du site ; reboisement final et aménagement paysager des alentours ; etc.) pour réduire les effets néfastes vécus actuellement.
- de trouver ensemble dans le cadre de l’intercommunalité entre les deux collectivités locales un autre site capable d’accueillir un Centre d Enfouillissement Technique digne de ce nom dans l’intérêt de nos villages et de la commune.
Quelques questions :
Pourquoi le Président du conseil rural et les conseillers ferment les yeux sur la situation ? Gagnent t ils pas quelque chose en douceur ?
Nalla MBAYE enseignant
Master 1 en géo
Les problèmes environnementaux constituent une véritable menace à la santé des populations à l’habitat et à la survie des activités liées à l agriculture, principale activité de la zone, à l’élevage et à la pêche.
Nous pensons même que cette journée serait une occasion à nos autorités en charge du développement de la localité de statuer sur la question dans un contexte de développement durable (aujourd hui véritable et incontournable référence).
A la place de ces autorités locales nous prenons la responsabilité d’apporter notre modeste contribution en donnant notre point de vue sur une infrastructure située entre Gandon et Rao et destinée à accueillir les ordures de la commune de saint louis en l’occurrence le Centre d’Enfouillissement Technique ou Centre d Encombrement Technique de Saint louis. Cette installation se transforme en véritable décharge sauvage, me poussant même à l’égaler à celle de M beubeuss .
La présence de cet infrastructure à proximité de la route nationale 2, qui est tout sauf un centre d enfouillssement car ne répondant aucune norme d un CET est une préoccupation environnementale qu’il convient de régler dans les meilleurs délais, afin d obtenir un bon cadre de vie.
Ce décharge comme celui de Mbeubeuss « constitue un obstacle majeur dans l'aménagement de cette zone en ce sens qu'elle modifie sensiblement le paysage péri urbain, et porte atteinte à la santé des populations.
Sans oublier les nombreuses nuisances causées par la décharge aux populations habitant la localité liées à : l’intensité du trafic des camions et la pollution sonore ; les odeurs ; la fumée ; la poussière ; la prolifération des mouches, de rongeurs et d'oiseaux rapaces ; la pollution de la nappe phréatiques et des eaux de ruissellement ». En l’absence d’une gestion professionnelle, la décharge est devenue un véritable dépotoir sauvage qui constitue une menace sur l’environnement et la santé des populations de Gandon, Ngaye Ngaye Rao N dialakhar Rao Peulh Minguegne etc.
Présentement toujours comme Mbeubeuss, « le centre est géré comme un gigantesque dépotoir sauvage, (sans règles techniques de gestion d’une décharge contrôlée). Les pratiques précédentes d'enfouissement des déchets consistaient en un déchargement des déchets sans aucun compactage ni couverture. Un brûlage des déchets à l'air libre a lieu de temps à temps. Ces pratiques sont écologiquement inacceptables et ont été à l'origine de nuisances considérables pour les zones d’habitations avoisinantes ».
Pollution du sol, du sous-sol et des eaux souterraines ; infection de la nappe phréatique, les odeurs, La pollution atmosphérique et la poussière etc. s ajoutent à la liste des néfastes conséquences. Le site est le théâtre d’une véritable catastrophe écologique avec la contamination irréversible du site (sols et sous-sol).
La position du site à zéro mètre de Ndialaxar « potentiel et levier auquel la localité doit s appuyer pour son développement » est un danger énorme.
Par conséquent nous proposons comme solutions
- la fermeture de la décharge autrement dit arrêt de l exploitation d autant plus que seules les ordures de la commune même se contente d une étude d impact environnemental faite selon eux avant l installation. Mais nous pouvons leur dire ce n est même plus nécessaire d effectuer un audit environnemental car il suffit de passer à coter pour savoir qu’il y a atteinte.
- la réhabilitation viable de l écologie : remise du site ; reboisement final et aménagement paysager des alentours ; etc.) pour réduire les effets néfastes vécus actuellement.
- de trouver ensemble dans le cadre de l’intercommunalité entre les deux collectivités locales un autre site capable d’accueillir un Centre d Enfouillissement Technique digne de ce nom dans l’intérêt de nos villages et de la commune.
Quelques questions :
Pourquoi le Président du conseil rural et les conseillers ferment les yeux sur la situation ? Gagnent t ils pas quelque chose en douceur ?
Nalla MBAYE enseignant
Master 1 en géo