Une version édulcorée de la résolution appelant à davantage d’aide humanitaire à Gaza a été adoptée à New York, après une semaine de retard.
Le texte « exige de toutes les parties qu'elles autorisent et facilitent l'acheminement immédiat, sûr et sans entrave d'une aide humanitaire à grande échelle », demande de « prendre de toute urgence » des mesures à cet égard et pour « créer les conditions d'une cessation durable des hostilités ». Sans toutefois appeler à un cessez-le-feu immédiat, ce dont ne voulaient pas les Américains, comme le rappelle l'Agence France-Presse.
La résolution a été approuvée par treize États. Aucun membre du Conseil n'a voté contre. Les États-Unis et la Russie, membres permanents dotés d'un droit de veto, se sont abstenus.
Le texte « exige de toutes les parties qu'elles autorisent et facilitent l'acheminement immédiat, sûr et sans entrave d'une aide humanitaire à grande échelle », demande de « prendre de toute urgence » des mesures à cet égard et pour « créer les conditions d'une cessation durable des hostilités ». Sans toutefois appeler à un cessez-le-feu immédiat, ce dont ne voulaient pas les Américains, comme le rappelle l'Agence France-Presse.
La résolution a été approuvée par treize États. Aucun membre du Conseil n'a voté contre. Les États-Unis et la Russie, membres permanents dotés d'un droit de veto, se sont abstenus.