Le ministre de l’Ecologie et de la Protection de la Nature, Ali Haïdar s’est réjoui de la reforestation de la mangrove dans la réserve naturelle communautaire de Gandon située à une douzaine de kilomètres de Saint-Louis (300km de la capitale) grâce au financement du gouvernement du Sénégal, du Fonds pour l’Environnement Mondial (FEM) et du Programme des Nations unies pour le Développement (PNUD).
« L’écosystème de la mangrove est le meilleur capteur de CO2 et nous travaillons avec nos partenaires dont je salue ici la présence du PNUD pour que cette reforestation permette de capter des fonds carbone pour une meilleure implication des populations locales », a indiqué le ministre.
Il s’exprimait samedi à l’occasion d’une visite de 48 heures de l’administrateur du PNUD, Helen Clark à Saint-Louis pour rencontrer les bénéficiaires des microprojets et programmes liés à la préservation de l’écosystème des régions nord de Saint-Louis, Matam et Louga.
Pour le ministre de l’Ecologie, il s’agit de vulgariser ce modèle de reforestation dans la sous-région pour une meilleure préservation de l’écosystème, particulièrement dans la lutte contre les changements climatiques.
« Aujourd’hui, nous travaillons même avec les partenaires de la Gambie et de la Guinée pour étendre ce modèle parce que la reforestation de la mangrove joue en plus un rôle important contre le réchauffement climatique », a souligné M. Haïdar.
Cette réserve de Gandon s’inscrit dans le cadre du Projet intégré des écosystèmes dans quatre paysages représentatifs du Sénégal (PGIES) dont le financement total s’élève à 13,380 millions de dollars dont environ 4 millions assurés par le PNUD.
Elle s’étend sur une superficie de 2000 hectares et polarise douze villages de 10.000 habitants qui tirent profit des diverses activités génératrices de revenus comme la production de sel, de miel, la transformation de produits halieutiques, etc.
Apanews
« L’écosystème de la mangrove est le meilleur capteur de CO2 et nous travaillons avec nos partenaires dont je salue ici la présence du PNUD pour que cette reforestation permette de capter des fonds carbone pour une meilleure implication des populations locales », a indiqué le ministre.
Il s’exprimait samedi à l’occasion d’une visite de 48 heures de l’administrateur du PNUD, Helen Clark à Saint-Louis pour rencontrer les bénéficiaires des microprojets et programmes liés à la préservation de l’écosystème des régions nord de Saint-Louis, Matam et Louga.
Pour le ministre de l’Ecologie, il s’agit de vulgariser ce modèle de reforestation dans la sous-région pour une meilleure préservation de l’écosystème, particulièrement dans la lutte contre les changements climatiques.
« Aujourd’hui, nous travaillons même avec les partenaires de la Gambie et de la Guinée pour étendre ce modèle parce que la reforestation de la mangrove joue en plus un rôle important contre le réchauffement climatique », a souligné M. Haïdar.
Cette réserve de Gandon s’inscrit dans le cadre du Projet intégré des écosystèmes dans quatre paysages représentatifs du Sénégal (PGIES) dont le financement total s’élève à 13,380 millions de dollars dont environ 4 millions assurés par le PNUD.
Elle s’étend sur une superficie de 2000 hectares et polarise douze villages de 10.000 habitants qui tirent profit des diverses activités génératrices de revenus comme la production de sel, de miel, la transformation de produits halieutiques, etc.
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