Troisième pilier du programme de base de l’OMVS après l’énergie et l’agriculture, le projet de navigation sur le fleuve Sénégal entre dans une nouvelle dynamique. Le projet vise à rendre au fleuve Sénégal sa vocation naturelle de transport, de poumon culturel et économique. « Il s’agit notamment de la construction d’infrastructures fluviales et routières complémentaires pour assurer le transport des biens et des personnes sur le fleuve Sénégal », a renseigné vendredi Haut-commissaire de l’OMVS.
« À l’état actuel, l’ensemble des études relatives à la réalisation du chenal navigable, du port fluviomaritime de Saint-Louis et du port terminus d’Ambidédi, de l’étude d’impact social et environnemental et de la rénovation de l’écluse du barrage de Diama, etc., sont achevée », indique Hamed Diane SEMEGA qui s’exprimait en marge d’un atelier de sensibilisation sur la peogramme à Saint-Louis. En à croire le Commissaire, « e contrat commercial a été signé avec l’entreprise indienne AFCONS. Les démarches sont en cours pour la mobilisation du financement du projet ».
Des réalisations structurantes sont annoncées dans le cadre de ce projet. Il s’agit de la construction d’un port fluviomaritime de Saint-Louis qui, pour M.SEMEGA est une solution technique pour stabiliser la brèche. Cette proposition, étudiée en collaboration avec l’Agence de Développement Communal (ADM) permettrait de diminuer « son impact négatif et d'en faire un levier pour le développement de Saint-Louis », a-t-il dit.
NdarINFO.COM
Le projet de navigabilité comprend, en outre, la construction, la réhabilitation ou la modernisation de 9 escales portuaires (Rosso-Mauritanie, Richard-Toll, Dagana, Boghé, Podor, Cas-Cas, Kaédi, Matam, Bakel) et de 7 appontements (Rosso-Sénégal, Niangué, Lexeiba, Démète, Dial, Civé, Gouraye). Il ambitionne un chantier naval dans la zone d’influence de Rosso-Mauritanie en plus d’assurer la mise en œuvre des plans de gestion environnementale et sociale issues des études ainsi que les plans d’action et de réinstallation, le cas échéant. La dynamique encourage, enfin, l’aménagement d’un chenal navigable de 35 mètres de large et d’une profondeur garantie de 2.10 m, par un dragage et un curage des seuils identifiés, ainsi que par la mise en place d’ouvrages de corrections appropriés pour un meilleur lissage du fleuve et un balisage adéquat et conforme aux normes en vigueur.
« À l’état actuel, l’ensemble des études relatives à la réalisation du chenal navigable, du port fluviomaritime de Saint-Louis et du port terminus d’Ambidédi, de l’étude d’impact social et environnemental et de la rénovation de l’écluse du barrage de Diama, etc., sont achevée », indique Hamed Diane SEMEGA qui s’exprimait en marge d’un atelier de sensibilisation sur la peogramme à Saint-Louis. En à croire le Commissaire, « e contrat commercial a été signé avec l’entreprise indienne AFCONS. Les démarches sont en cours pour la mobilisation du financement du projet ».
Des réalisations structurantes sont annoncées dans le cadre de ce projet. Il s’agit de la construction d’un port fluviomaritime de Saint-Louis qui, pour M.SEMEGA est une solution technique pour stabiliser la brèche. Cette proposition, étudiée en collaboration avec l’Agence de Développement Communal (ADM) permettrait de diminuer « son impact négatif et d'en faire un levier pour le développement de Saint-Louis », a-t-il dit.
NdarINFO.COM
Le projet de navigabilité comprend, en outre, la construction, la réhabilitation ou la modernisation de 9 escales portuaires (Rosso-Mauritanie, Richard-Toll, Dagana, Boghé, Podor, Cas-Cas, Kaédi, Matam, Bakel) et de 7 appontements (Rosso-Sénégal, Niangué, Lexeiba, Démète, Dial, Civé, Gouraye). Il ambitionne un chantier naval dans la zone d’influence de Rosso-Mauritanie en plus d’assurer la mise en œuvre des plans de gestion environnementale et sociale issues des études ainsi que les plans d’action et de réinstallation, le cas échéant. La dynamique encourage, enfin, l’aménagement d’un chenal navigable de 35 mètres de large et d’une profondeur garantie de 2.10 m, par un dragage et un curage des seuils identifiés, ainsi que par la mise en place d’ouvrages de corrections appropriés pour un meilleur lissage du fleuve et un balisage adéquat et conforme aux normes en vigueur.