Des sources proches de ce dossier révèlent au quotidien Rewmi que les nouvelles autorités étatiques veulent confier, à nouveau, la gestion des aéroports de Saint-Louis et de Ziguinchor à l'Agence pour la sécurité de la navigation aérienne en Afrique et à Madagascar (Asecna).
D’ailleurs, selon les mêmes sources, une mission technique séjourne présentement dans les deux capitales régionales, afin de fouiner sur leur rentabilité.
Pourtant, Me Wade, alors président de la République, avait fustigé cette main mise, avançant comme arguments, des ambitions qu'il aurait pour développer son aviation civile et ses aéroports, pour les rendre plus compétitifs. Parce que le Sénégal ne voulait plus que ses activités aéronautiques soient gérées par l'Agence pour la sécurité de navigation aérienne en Afrique et à Madagascar (Asecna).
C’est ainsi qu’il avait décidé, «souverainement» de les reprendre et de les gérer lui-même, en mai 2008. Car, selon Farba Senghor, ministre des Transports aériens d’alors, ayant constaté «l'insuffisance d'investissements» au niveau des aéroports, et «des lourdeurs» dans la gestion des ressources qui proviennent de ces aéroports, le Sénégal a décidé de rompre le contrat particulier qui le liait avec l'Agence pour la sécurité de la navigation aérienne en Afrique et à Madagascar (Asecna).
D’ailleurs, selon les mêmes sources, une mission technique séjourne présentement dans les deux capitales régionales, afin de fouiner sur leur rentabilité.
Pourtant, Me Wade, alors président de la République, avait fustigé cette main mise, avançant comme arguments, des ambitions qu'il aurait pour développer son aviation civile et ses aéroports, pour les rendre plus compétitifs. Parce que le Sénégal ne voulait plus que ses activités aéronautiques soient gérées par l'Agence pour la sécurité de navigation aérienne en Afrique et à Madagascar (Asecna).
C’est ainsi qu’il avait décidé, «souverainement» de les reprendre et de les gérer lui-même, en mai 2008. Car, selon Farba Senghor, ministre des Transports aériens d’alors, ayant constaté «l'insuffisance d'investissements» au niveau des aéroports, et «des lourdeurs» dans la gestion des ressources qui proviennent de ces aéroports, le Sénégal a décidé de rompre le contrat particulier qui le liait avec l'Agence pour la sécurité de la navigation aérienne en Afrique et à Madagascar (Asecna).