Suite au coup d’État du 26 juillet 2023, la CEDEAO a pris des sanctions considérées comme sévères par certains à l’encontre de la junte ayant renversé le régime de Mohamed Bazoum. Ces mesures comprenaient la fermeture de toutes les frontières avec le Niger, la suspension des transactions financières et le gel des avoirs du pays dans les banques étrangères.
La CEDEAO a également donné un ultimatum à la junte pour rétablir l’ordre constitutionnel et réintégrer le président déchu, Mohamed Bazoum, dans un délai d’une semaine, sous peine d’autres mesures, y compris une intervention militaire.
En réponse, les putschistes nigériens se sont alliés à leurs homologues du Burkina Faso et du Mali, annonçant leur retrait immédiat de la CEDEAO et la création de l’Alliance des États du Sahel. Face à cette résistance, les positions ont évolué au sein de l’instance sous-régionale, certains chefs d’État plaidant pour un assouplissement de la position de l’institution. Cela a conduit à la levée des sanctions contre le Niger le samedi 24 février 2024.
La CEDEAO a également donné un ultimatum à la junte pour rétablir l’ordre constitutionnel et réintégrer le président déchu, Mohamed Bazoum, dans un délai d’une semaine, sous peine d’autres mesures, y compris une intervention militaire.
En réponse, les putschistes nigériens se sont alliés à leurs homologues du Burkina Faso et du Mali, annonçant leur retrait immédiat de la CEDEAO et la création de l’Alliance des États du Sahel. Face à cette résistance, les positions ont évolué au sein de l’instance sous-régionale, certains chefs d’État plaidant pour un assouplissement de la position de l’institution. Cela a conduit à la levée des sanctions contre le Niger le samedi 24 février 2024.