Entre anecdotes, témoignages et prières pour le repos de son âme, le monde des médias a rendu un vibrant hommage au journaliste et formateur Jean Meissa Diop rappelé à Dieu, dimanche, des suites d’une longue maladie qui l’avait éloigné des salles de rédaction. « Emus », « attristés », « bouleversés », tous ont magnifié, sur les réseaux sociaux, les qualités du défunt chroniqueur d’« Avis d’inexpert ».
Sur sa page Facebook, le Secrétaire général du Syndicat des professionnels de l’information et de la communication du Sénégal (Synpics) se dit convaincu que « Jean Meissa Diop va nous manquer ! ». A ce titre, Bamba Kassé a présenté ses condoléances non sans exprimer ses « pensées émues à tous les journalistes. Rest In Peace (repose en paix, ndlr) grand ».
Pour sa part, le président de l’Association des professionnels de la presse en ligne (Appel), Ibrahima Lissa Faye, est surpris par la triste nouvelle. « Oh noon pas lui », s’est-il, en effet, exclamé. A l’instar de tous ses confrères, l’administrateur de Pressafrik soutient que « Jean Meissa Diop (était) un grand journaliste très professionnel et formateur. Mon Dieu, que cette faucheuse est si cruelle. Dors en paix Jean. Une très grosse perte ».
« Adieu Jean ! », commente le directeur du quotidien national Le Soleil, Yakham Mbaye. Qui s’est joint aux hommages rendus à « un grand journaliste d’une grande humilité et d’une immense générosité professionnelle, fin et pointu dans ses analyses vient de nous quitter. Que le Seigneur accueille Jean Meissa dans Son paradis éternel ! »
« Jean Meissa Diop est parti ! Oh, quelle triste nouvelle que le décès de JMD, une icône du journalisme sénégalais. Un professionnel aguerri, taquin et généreux dans le partage de ses connaissances », pleure Ballé Preira. Qui témoigne : « il nous avait placés sous son aile formatrice alors que nous étions de jeunes étudiants du Cesti, stagiaires au quotidien Walfadjri. Il rejoint ainsi Sidy Lamine Niasse et Abdourahmane Camara, deux autres piliers du groupe de Front de terre ». Le journaliste économique déclare qu’«un passionné du journalisme bien fait s’en est allé. Presque jusqu’au dernier souffle, il exerçait son métier avec sa chronique d’inexpert dans le journal Walfadjri, un signe d’humilité et de générosité intellectuelle ».
En tout cas, le défunt « incarnait toutes les qualités d’un bon journaliste », jure Mame Gor Ngom. Car, rapporte le billettiste, « talent, rigueur, concision, honnêteté, courage, humilité…Il n’a jamais baissé les bras malgré une santé chancelante. Grand, tu vas nous manquer. Terriblement. Je relis nos derniers échanges. Je me souviens de nos discussions téléphoniques ».
Le journaliste Oumar Kandé dit retenir de Jean Meissa Diop le souvenir d’« un bon encadreur » pour sa promotion de presse écrite au Cesti. A l’en croire, le chroniqueur était également « un enseignant qui suivait ses élèves et (qui) ne manquait jamais d’apprécier leur travail dans nos rédactions respectives. Une grosse perte pour la presse sénégalaise ». Embouchant la même trompette, son confrère, Sidy Diop, regrette le décès de cet « homme d’une exquise courtoisie, un esprit supérieur et pourtant si humble ».
Ce qui fait dire à Ibrahima Benjamin Diagne qu’« un autre timonier est parti ! ». Pour lui, Jean Meissa Diop a « rejoint le bâtisseur Sidy Lamine et le timonier Abdourahmane Camara ». « Bouleversé », l’ancien de la Rfm n’a pas manqué de raconter ses débuts à Walfadiri, dans les années 2000. « Il m’appelait tendrement « Ben Lamp » (il était convaincu que je suis Bay Fall), je l’appelais « Tokor » car compère d’un de mes oncles. Au bouclage tardif du journal après un reportage pour la radio, il me réclamait un papier pour la presse écrite « Walf quotidien »… Il m’installe dans son bureau de Rédacteur en Chef pour le mettre à l’aise dans la rédaction de l’article. J’ai grandi journalistiquement parlant sous l’aile protectrice de ce professionnel aguerri, disponible et généreux », a-t-il écrit.
« Avec la disparition du journaliste Jean Meïssa Diop, la presse du continent et du Sénégal perdent un illustre confrère », soutient l’Union des Journalistes de la Presse Libre d’Afrique (Ujpla), à travers un communiqué de presse. Elle prie « que l’âme de cet éminent journaliste africain repose en paix au pays de la Teranga ».
Tous ont prié pour le repos éternel de son âme.
Salla GUÈYE
Sur sa page Facebook, le Secrétaire général du Syndicat des professionnels de l’information et de la communication du Sénégal (Synpics) se dit convaincu que « Jean Meissa Diop va nous manquer ! ». A ce titre, Bamba Kassé a présenté ses condoléances non sans exprimer ses « pensées émues à tous les journalistes. Rest In Peace (repose en paix, ndlr) grand ».
Pour sa part, le président de l’Association des professionnels de la presse en ligne (Appel), Ibrahima Lissa Faye, est surpris par la triste nouvelle. « Oh noon pas lui », s’est-il, en effet, exclamé. A l’instar de tous ses confrères, l’administrateur de Pressafrik soutient que « Jean Meissa Diop (était) un grand journaliste très professionnel et formateur. Mon Dieu, que cette faucheuse est si cruelle. Dors en paix Jean. Une très grosse perte ».
« Adieu Jean ! », commente le directeur du quotidien national Le Soleil, Yakham Mbaye. Qui s’est joint aux hommages rendus à « un grand journaliste d’une grande humilité et d’une immense générosité professionnelle, fin et pointu dans ses analyses vient de nous quitter. Que le Seigneur accueille Jean Meissa dans Son paradis éternel ! »
« Jean Meissa Diop est parti ! Oh, quelle triste nouvelle que le décès de JMD, une icône du journalisme sénégalais. Un professionnel aguerri, taquin et généreux dans le partage de ses connaissances », pleure Ballé Preira. Qui témoigne : « il nous avait placés sous son aile formatrice alors que nous étions de jeunes étudiants du Cesti, stagiaires au quotidien Walfadjri. Il rejoint ainsi Sidy Lamine Niasse et Abdourahmane Camara, deux autres piliers du groupe de Front de terre ». Le journaliste économique déclare qu’«un passionné du journalisme bien fait s’en est allé. Presque jusqu’au dernier souffle, il exerçait son métier avec sa chronique d’inexpert dans le journal Walfadjri, un signe d’humilité et de générosité intellectuelle ».
En tout cas, le défunt « incarnait toutes les qualités d’un bon journaliste », jure Mame Gor Ngom. Car, rapporte le billettiste, « talent, rigueur, concision, honnêteté, courage, humilité…Il n’a jamais baissé les bras malgré une santé chancelante. Grand, tu vas nous manquer. Terriblement. Je relis nos derniers échanges. Je me souviens de nos discussions téléphoniques ».
Le journaliste Oumar Kandé dit retenir de Jean Meissa Diop le souvenir d’« un bon encadreur » pour sa promotion de presse écrite au Cesti. A l’en croire, le chroniqueur était également « un enseignant qui suivait ses élèves et (qui) ne manquait jamais d’apprécier leur travail dans nos rédactions respectives. Une grosse perte pour la presse sénégalaise ». Embouchant la même trompette, son confrère, Sidy Diop, regrette le décès de cet « homme d’une exquise courtoisie, un esprit supérieur et pourtant si humble ».
Ce qui fait dire à Ibrahima Benjamin Diagne qu’« un autre timonier est parti ! ». Pour lui, Jean Meissa Diop a « rejoint le bâtisseur Sidy Lamine et le timonier Abdourahmane Camara ». « Bouleversé », l’ancien de la Rfm n’a pas manqué de raconter ses débuts à Walfadiri, dans les années 2000. « Il m’appelait tendrement « Ben Lamp » (il était convaincu que je suis Bay Fall), je l’appelais « Tokor » car compère d’un de mes oncles. Au bouclage tardif du journal après un reportage pour la radio, il me réclamait un papier pour la presse écrite « Walf quotidien »… Il m’installe dans son bureau de Rédacteur en Chef pour le mettre à l’aise dans la rédaction de l’article. J’ai grandi journalistiquement parlant sous l’aile protectrice de ce professionnel aguerri, disponible et généreux », a-t-il écrit.
« Avec la disparition du journaliste Jean Meïssa Diop, la presse du continent et du Sénégal perdent un illustre confrère », soutient l’Union des Journalistes de la Presse Libre d’Afrique (Ujpla), à travers un communiqué de presse. Elle prie « que l’âme de cet éminent journaliste africain repose en paix au pays de la Teranga ».
Tous ont prié pour le repos éternel de son âme.
Salla GUÈYE