La section de Saint-Louis du Cadre unitaire des syndicats du moyen et secondaire (CUSEMS) a annoncé avoir décidé d'observer "une journée morte" mercredi, date du procès d'un élève poursuivi par une enseignante pour agression avec une arme blanche.
"La section CUSEMS de Saint-Louis décrète une journée morte le mercredi 05 mars 2014, pour dire non à la violence dans les écoles et aussi pour soutenir la victime de l'agression lors de son procès prévu le même jour", lit-on dans un communiqué reçu de ce syndicat.
Dans ce texte, le CUSEMS dit condamner "avec la dernière énergie les actes de violence perpétrés à l'encontre des enseignants dans les établissements scolaires depuis un certain temps".
Le syndicat dénonce dans ce communiqué les "menaces verbales", "incivilités", "menaces de représailles, d'agressions physiques à main nue" dont des enseignants ont été victimes, citant ''tout récemment", l'agression physique à main armée d'une de ses militantes exerçant au lycée cheikh Oumar Foutiyou Tall de Saint-Louis.
Partant, il demande aux autorités compétentes (chefs d'établissement, inspecteurs de l'éducation et de la formation, inspecteurs d'académie, préfets, gouverneur) en général et au ministère de tutelle en particulier de d'assurer la sécurité des enseignants au sein des établissements scolaires.
Pour le CUSEMS, "l'Etat doit veiller avec attention et engagement au respect des droits naturels et imprescriptibles des citoyens parmi lesquels la sécurité et la sûreté, sur tout le territoire national, donc dans les établissements scolaires".
APS
"La section CUSEMS de Saint-Louis décrète une journée morte le mercredi 05 mars 2014, pour dire non à la violence dans les écoles et aussi pour soutenir la victime de l'agression lors de son procès prévu le même jour", lit-on dans un communiqué reçu de ce syndicat.
Dans ce texte, le CUSEMS dit condamner "avec la dernière énergie les actes de violence perpétrés à l'encontre des enseignants dans les établissements scolaires depuis un certain temps".
Le syndicat dénonce dans ce communiqué les "menaces verbales", "incivilités", "menaces de représailles, d'agressions physiques à main nue" dont des enseignants ont été victimes, citant ''tout récemment", l'agression physique à main armée d'une de ses militantes exerçant au lycée cheikh Oumar Foutiyou Tall de Saint-Louis.
Partant, il demande aux autorités compétentes (chefs d'établissement, inspecteurs de l'éducation et de la formation, inspecteurs d'académie, préfets, gouverneur) en général et au ministère de tutelle en particulier de d'assurer la sécurité des enseignants au sein des établissements scolaires.
Pour le CUSEMS, "l'Etat doit veiller avec attention et engagement au respect des droits naturels et imprescriptibles des citoyens parmi lesquels la sécurité et la sûreté, sur tout le territoire national, donc dans les établissements scolaires".
APS