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Des chercheurs de l'Université d'Exeter, en Grande-Bretagne, ont analysé les dossiers médicaux de plus de 6500 adultes américains qui avaient été suivi pendant 19 ans dans le cadre d'une vaste étude sur la santé et la retraite.
Dans ces dossiers figurait une évaluation de la consommation d'alcool basée sur un questionnaire envoyé aux participants lorsqu'ils avaient entre 51 et 61 ans. Pour évaluer leur dépendance à l'alcool, ils devaient répondre à des questions détournées comme : "Avez-vous déjà été gêné par quelqu'un qui critiquait votre consommation d'alcool ? " ou "La boisson est-elle la première chose à laquelle vous pensez en vous levant le matin ?" ou encore "Avez-vous déjà pensé à réduire votre consommation d'alcool ?"
Plus les années passent et moins la mémoire est affûtée
"Si vous répondez oui à l'un de ces questions, vous êtes susceptible d'être une personne à risque" explique le Dr Ian Lang, spécialiste de santé publique et auteur de l'étude.
Après avoir été soumis à ce questionnaire, les participants ont pris part à une série de tests de mémoire. Ils ont ensuite été soumis à ces mêmes batteries de tests tous les deux ans. En règle générale, plus les années passaient et plus les résultats aux tests baissaient. Mais le résultat des tests étaient réellement mauvais chez les personnes ayant des antécédents de problèmes d'alcool.
Cette étude vient conforter les résultats d'études précédentes qui indiquent que boire trop augmente les risques de développer d'importants troubles de mémoire ou des démences. Or, selon les experts, la perte des capacités cognitives chez les seniors est une réelle épidémie.
Aujourd'hui, 44 millions de personnes dans le monde souffrent d'une forme de démence (dont la maladie d'Alzheimer) et il est important de trouver les moyens de la prévenir.
Dans ces dossiers figurait une évaluation de la consommation d'alcool basée sur un questionnaire envoyé aux participants lorsqu'ils avaient entre 51 et 61 ans. Pour évaluer leur dépendance à l'alcool, ils devaient répondre à des questions détournées comme : "Avez-vous déjà été gêné par quelqu'un qui critiquait votre consommation d'alcool ? " ou "La boisson est-elle la première chose à laquelle vous pensez en vous levant le matin ?" ou encore "Avez-vous déjà pensé à réduire votre consommation d'alcool ?"
Plus les années passent et moins la mémoire est affûtée
"Si vous répondez oui à l'un de ces questions, vous êtes susceptible d'être une personne à risque" explique le Dr Ian Lang, spécialiste de santé publique et auteur de l'étude.
Après avoir été soumis à ce questionnaire, les participants ont pris part à une série de tests de mémoire. Ils ont ensuite été soumis à ces mêmes batteries de tests tous les deux ans. En règle générale, plus les années passaient et plus les résultats aux tests baissaient. Mais le résultat des tests étaient réellement mauvais chez les personnes ayant des antécédents de problèmes d'alcool.
Cette étude vient conforter les résultats d'études précédentes qui indiquent que boire trop augmente les risques de développer d'importants troubles de mémoire ou des démences. Or, selon les experts, la perte des capacités cognitives chez les seniors est une réelle épidémie.
Aujourd'hui, 44 millions de personnes dans le monde souffrent d'une forme de démence (dont la maladie d'Alzheimer) et il est important de trouver les moyens de la prévenir.
