‘’Il nous incombe de réaliser dans les meilleurs délais les attentes des plus hautes des autorités de l’organisation, notamment un démarrage effectif des travaux du projet de navigation sur le fleuve Sénégal’’, a dit M. Vétah, lors de la 7ème réunion du comité de suivi du projet.
Il a rappelé que le conseil des ministres de l’organisation, avait lors de sa 76-ème session ordinaire tenue à Bamako, au Mali en Janvier dernier, ”pris deux importantes résolutions pour la mise œuvre dudit projet”.
Parmi lesquelles, s’y trouve, la stratégie de navigation rapide qui a consacré, un financement de 35 milliards de Fcfa, à la mise en œuvre du projet, a-t-il indiqué.
Il a précisé que ce financement a été mobilisé grâce une enveloppe ”de 20 milliards de Fcfa en 2024, soit 5 milliards par Etats et 5 milliards de francs, de la société de gestion et d’exploitation des barrages de Manantali (SOGEM), Gouina et Félou’’.
”En plus de cela, il y a l’existence en 2025, d’un reliquat de 15 milliards de Fcfa, soit 5 milliards de francs par Etat membre”, a-t-il signalé.
S’agissant de la deuxième résolution, M. Vetah a relevé, qu’elle engage la société de gestion et d’exploitation de la navigation (SOGENAV), chargée de diligenter les études complémentaires de la phase fluviomaritime.
”Elle engage également le Haut-Commissariat, en relation avec les Etats et la SOGENAV, pour mener les actions nécessaires à la mobilisation du montant du financement requis, pour la phase fluviomaritime”, a-t-il ajouté en relevant que ”ce montant est évalué à 55 milliards de Fcfa”.
La navigation sur le fleuve Sénégal représente une opportunité majeure pour le commerce, le transport et le développement des échanges entre les pays riverains, indique un communiqué de l’OMVS.
”Il revêt une importance cruciale pour le développement socio-économique des pays membres de l’OMVS et suscite un intérêt majeur tant au niveau de local que régional”, souligne-t-il en rappelant que cette initiative s’inscrivait parmi les projets prioritaires de l’organisation qui compte réunir l’ensemble de ses parties prenantes en vue de faire le suivi des activités réalisées depuis les dernières orientations fixées par le Conseil des ministres de l’OMVS.
APS
Il a rappelé que le conseil des ministres de l’organisation, avait lors de sa 76-ème session ordinaire tenue à Bamako, au Mali en Janvier dernier, ”pris deux importantes résolutions pour la mise œuvre dudit projet”.
Parmi lesquelles, s’y trouve, la stratégie de navigation rapide qui a consacré, un financement de 35 milliards de Fcfa, à la mise en œuvre du projet, a-t-il indiqué.
Il a précisé que ce financement a été mobilisé grâce une enveloppe ”de 20 milliards de Fcfa en 2024, soit 5 milliards par Etats et 5 milliards de francs, de la société de gestion et d’exploitation des barrages de Manantali (SOGEM), Gouina et Félou’’.
”En plus de cela, il y a l’existence en 2025, d’un reliquat de 15 milliards de Fcfa, soit 5 milliards de francs par Etat membre”, a-t-il signalé.
S’agissant de la deuxième résolution, M. Vetah a relevé, qu’elle engage la société de gestion et d’exploitation de la navigation (SOGENAV), chargée de diligenter les études complémentaires de la phase fluviomaritime.
”Elle engage également le Haut-Commissariat, en relation avec les Etats et la SOGENAV, pour mener les actions nécessaires à la mobilisation du montant du financement requis, pour la phase fluviomaritime”, a-t-il ajouté en relevant que ”ce montant est évalué à 55 milliards de Fcfa”.
La navigation sur le fleuve Sénégal représente une opportunité majeure pour le commerce, le transport et le développement des échanges entre les pays riverains, indique un communiqué de l’OMVS.
”Il revêt une importance cruciale pour le développement socio-économique des pays membres de l’OMVS et suscite un intérêt majeur tant au niveau de local que régional”, souligne-t-il en rappelant que cette initiative s’inscrivait parmi les projets prioritaires de l’organisation qui compte réunir l’ensemble de ses parties prenantes en vue de faire le suivi des activités réalisées depuis les dernières orientations fixées par le Conseil des ministres de l’OMVS.
APS