Concrètement, le PAFISEM cible le renforcement de la production de semences de qualité et la structuration des filières dans les pays qui se partagent le bassin, soit le Sénégal, la Guinée, le Mali et la Mauritanie.
Parmi les actions prévues par le projet, figurent le soutien aux mouvements paysans et plus particulièrement aux associations de femmes et de jeunes et la mise à disposition de ressources techniques et économiques au profit des communautés locales. Les zones d’intervention sont les régions de Kankan (Guinée), de Trarza (Mauritanie), Kayes (Mali) et de Saint-Louis (Sénégal).
« Avec ce projet, nous comptons combler des gaps importants tant en termes d’équipements que d’organisation et de formations. Il nous permettra de contribuer de façon notable à la modernisation de notre agriculture, clé de voûte du règlement de la question de l’emploi des jeunes et du développement », indique M. Séméga.
« Ce projet répond à un besoin de production de semences de très bonne qualité et sera fondé sur une démarche de développement local visant à assurer aux jeunes et aux femmes qui composent la communauté locale la maîtrise d’ouvrage de leurs actions de développement », estime de son côté M. De Vito.
Au total, le PAFISEM devrait profiter directement à plus de 10 000 personnes et indirectement à 5 millions de personnes vivant dans le bassin du fleuve Sénégal. Pour rappel, le bassin du fleuve Sénégal s’étend sur plus de 330 500 km².
Agence Ecofin
Parmi les actions prévues par le projet, figurent le soutien aux mouvements paysans et plus particulièrement aux associations de femmes et de jeunes et la mise à disposition de ressources techniques et économiques au profit des communautés locales. Les zones d’intervention sont les régions de Kankan (Guinée), de Trarza (Mauritanie), Kayes (Mali) et de Saint-Louis (Sénégal).
« Avec ce projet, nous comptons combler des gaps importants tant en termes d’équipements que d’organisation et de formations. Il nous permettra de contribuer de façon notable à la modernisation de notre agriculture, clé de voûte du règlement de la question de l’emploi des jeunes et du développement », indique M. Séméga.
« Ce projet répond à un besoin de production de semences de très bonne qualité et sera fondé sur une démarche de développement local visant à assurer aux jeunes et aux femmes qui composent la communauté locale la maîtrise d’ouvrage de leurs actions de développement », estime de son côté M. De Vito.
Au total, le PAFISEM devrait profiter directement à plus de 10 000 personnes et indirectement à 5 millions de personnes vivant dans le bassin du fleuve Sénégal. Pour rappel, le bassin du fleuve Sénégal s’étend sur plus de 330 500 km².
Agence Ecofin