L'IPRES est financièrement en bonne santé, selon Amadou Bâ
Cette situation s’explique par le fait que les cotisations des travailleurs à l’IPRES sont passées de 40,4 milliards de francs CFA en 2006 à 72 milliards en 2013, et devraient atteindre 75,6 milliards en 2014, a expliqué M. Bâ dans un rapport préparé par une commission de l'Assemblée nationale.
Le texte citant le ministre de l'Economie et des Finances a été élaboré en prévision du débat d’orientation budgétaire, pour lequel Amadou Bâ a rencontré les députés, vendredi après-midi, à l'Assemblée nationale.
M. Bâ annonce dans ce rapport que les allocations versées aux travailleurs à la retraite par l’IPRES sont passées de 32,8 milliards de francs CFA en 2006 à 60,3 milliards en 2013.
Il signale que les entreprises publiques sénégalaises sont "très endettées".
"L’analyse des états financiers reçus révèle que les sociétés nationales, notamment la SENELEC (électricité), la SONES (eau), le Port autonome de Dakar, la SICAP (immobilier) et la Société des infrastructures de réparation navale (SIRN) concentrent l’essentiel de l’endettement du secteur" public, renseigne le rapport parlementaire, citant Amadou Bâ.
Cette situation s’explique par le fait que les cotisations des travailleurs à l’IPRES sont passées de 40,4 milliards de francs CFA en 2006 à 72 milliards en 2013, et devraient atteindre 75,6 milliards en 2014, a expliqué M. Bâ dans un rapport préparé par une commission de l'Assemblée nationale.
Le texte citant le ministre de l'Economie et des Finances a été élaboré en prévision du débat d’orientation budgétaire, pour lequel Amadou Bâ a rencontré les députés, vendredi après-midi, à l'Assemblée nationale.
M. Bâ annonce dans ce rapport que les allocations versées aux travailleurs à la retraite par l’IPRES sont passées de 32,8 milliards de francs CFA en 2006 à 60,3 milliards en 2013.
Il signale que les entreprises publiques sénégalaises sont "très endettées".
"L’analyse des états financiers reçus révèle que les sociétés nationales, notamment la SENELEC (électricité), la SONES (eau), le Port autonome de Dakar, la SICAP (immobilier) et la Société des infrastructures de réparation navale (SIRN) concentrent l’essentiel de l’endettement du secteur" public, renseigne le rapport parlementaire, citant Amadou Bâ.