Des organisations internationales ont invité, vendredi, à Dakar, l’Etat du Sénégal à procéder à une évaluation objective du pétrole et du gaz découverts sur le territoire national et d’informer le peuple sénégalais sur le processus d’exploitation de ces ressources naturelles.
‘’Nous exhortons l’Etat à informer le peuple sénégalais sur les quantités, la qualité et la localisation afin de les impliquer dans toutes les dispositions prises’’, peut-on lire dans une de synthèse rendue publique lors d’un atelier multi-acteurs de réflexion et d’apprentissage sur la gouvernance du pétrole et du gaz au Sénégal.
Cette rencontre est organisée par l’Ong OXFAM, l’organisation ‘’ Woman in mining’’ et la société civile.
Ces organisations recommandent également l’élaboration d’une vision nationale sur le pétrole et le gaz et de la décliner en une politique participative, plus large et plus inclusive.
Les organisations nationales et internationales proposent aux pouvoirs publics de ‘’mettre en place une stratégie nationale sur le contenu local qui anticipe les besoins actuels et futurs des entreprises, pour ensuite soutenir le secteur privé local.’’
Elles n’ont pas manqué de souligner dans les recommandations la volonté du gouvernement de faire du pétrole et du gaz un levier pour un développement national inclusif et solidaire.
A cet effet, l’Etat du Sénégal ainsi que celui de la Mauritanie sont invités à éviter le sort des pays où l’exploitation des hydrocarbures et de certaines ressources naturelles est une ‘’malédiction’’.
La société civile est interpellée quant à la mise sur pied d’une commission pour la vérité et la transparence de l’exploitation du pétrole et du gaz, qui va opérer comme un jury populaire.
Cette commission, explique-t-on, va exercer un contrôle à la fois sur l’Etat, les compagnies pétrolières et les partenaires techniques et financiers pour s’assurer de la cohérence de leurs actions.
APS
‘’Nous exhortons l’Etat à informer le peuple sénégalais sur les quantités, la qualité et la localisation afin de les impliquer dans toutes les dispositions prises’’, peut-on lire dans une de synthèse rendue publique lors d’un atelier multi-acteurs de réflexion et d’apprentissage sur la gouvernance du pétrole et du gaz au Sénégal.
Cette rencontre est organisée par l’Ong OXFAM, l’organisation ‘’ Woman in mining’’ et la société civile.
Ces organisations recommandent également l’élaboration d’une vision nationale sur le pétrole et le gaz et de la décliner en une politique participative, plus large et plus inclusive.
Les organisations nationales et internationales proposent aux pouvoirs publics de ‘’mettre en place une stratégie nationale sur le contenu local qui anticipe les besoins actuels et futurs des entreprises, pour ensuite soutenir le secteur privé local.’’
Elles n’ont pas manqué de souligner dans les recommandations la volonté du gouvernement de faire du pétrole et du gaz un levier pour un développement national inclusif et solidaire.
A cet effet, l’Etat du Sénégal ainsi que celui de la Mauritanie sont invités à éviter le sort des pays où l’exploitation des hydrocarbures et de certaines ressources naturelles est une ‘’malédiction’’.
La société civile est interpellée quant à la mise sur pied d’une commission pour la vérité et la transparence de l’exploitation du pétrole et du gaz, qui va opérer comme un jury populaire.
Cette commission, explique-t-on, va exercer un contrôle à la fois sur l’Etat, les compagnies pétrolières et les partenaires techniques et financiers pour s’assurer de la cohérence de leurs actions.
APS