Après l’ouvrage sacrilège contre l’Islam, "Les Versets sataniques" du romancier indo-britannique Salman Rushdie, publié en 1988, et dont l’auteur essuya une mémorable "fatwa" du Guide de la Révolution iranienne Ayatollah Khomeiny, au point de devoir toujours vivre dans la clandestinité; après les caricatures outrageantes du Danois Kurt Westergaard, jetant l’opprobre sur le Vénéré Prophète de l’Islam (psl), en 2005; après Innocence of Muslims", ce long-métrage qui, à travers un scénario outrageant, raille l’Islam et à son Prophète ; produit et réalisé aux États-Unis en 2012 par l’Israélo-Américain, Sam Bacile, finalement renié par ces pays dont il se réclamait de la double-nationalité (il y décrivait l'islam comme un "cancer", une religion haineuse, et avait reçu à cet effet un financement de cinq millions de dollars, près de deux milliards et demi de nos francs, levés auprès d'une centaine de donateurs juifs, qu'il se refuse toujours de révéler leurs identités) ; œuvre cinématographique qui avait suscité l’indignation de plus d’un milliard six cent millions de croyants à travers le monde et mis le feu aux poudre dans de nombreux pays, occasionnant des pertes en vies humaines; voilà que les agresseurs de l’Islam reprennent du service, en utilisant cette fois-ci notre propre pays, le Sénégal, comme plate-forme lance-missiles !
Et c’est un de ses fils qui s’illustre tristement dans cette basse besogne à travers une incursion littéraire négationniste, tournant en dérision les enseignements du sublime Coran, qu’il a quasiment attribués à une œuvre humain, en prétendant que son dépositaire, le Prophète Mouhamed, était bien un lettré. Contredisant ainsi frontalement le Tout-Puissant, qui a pourtant bien martelé, dans plusieurs chapitres du Livre Saint, que c’est bien à dessein qu’il s’était choisi un Messager analphabète : «Avant que je ne te confie cette mission, tu ne récitais aucun livre et n’en avais écrit aucun de ta main droite. Sinon ceux qui nient la Vérité auraient eu des doutes» (Sourate 29, l’Araignée, «Al-Hankabout», verset 48).
L’Omniscient, en prenant ainsi les devants, savait parfaitement, dans Sa Grande Sagesse, que des «Oumar Sankharé», à l’affut, ne manqueraient pas de se tenir fermement sur leurs étriers, pour semer le doute et la confusion dans certains esprits, en s’ingéniant à démontrer que l’auteur du Saint Coran n’est qu’un humain ordinaire comme tout autre, à l’instar d’un Karl Marx, avec son best seller d’économie politique «Le Capital», ou d’un Platon, promoteur d’un modèle de vie communautaire théorisé dans «La République»! Mais il est bien heureux que le dépositaire du Livre Saint fut bien un illettré, coupant ainsi l’herbe sous les pieds à éventuels contempteurs, dont la foi chancelante peine toujours à se faire à l’idée que les enseignements coraniques aient été directement inspirés par Allah à un modeste berger analphabète, par le truchement duquel Le Tout-Puissant entreprit de répandre Sa Lumière et Ses Sublimes Enseignements à travers l’univers.
Il n’empêche, que l’Organisation islamique Jamra et l’Observatoire Mbañ Gacce, dans leur posture de veille et de défense des valeurs culturelles et religieuses se feront le devoir de mener la riposte jusqu’à son terme, en décidant d’ores et déjà – en partenariat avec d’autres organisations musulmanes – de se constituer partie civile. Nous avons déjà requis à cet effet les services de Maître Massokhna Kane, qui coordonne un collectif d’avocats, qui déposeront dés lundi notre plainte entre les mains du Procureur de la République, avant de s’adresser à la presse.
Dakar, le 24 mai 2014
Pour le Bureau exécutif de
Jamra & Mbañ Gacce
Imam Massamba Diop
ongjamra@hotmail.com
Et c’est un de ses fils qui s’illustre tristement dans cette basse besogne à travers une incursion littéraire négationniste, tournant en dérision les enseignements du sublime Coran, qu’il a quasiment attribués à une œuvre humain, en prétendant que son dépositaire, le Prophète Mouhamed, était bien un lettré. Contredisant ainsi frontalement le Tout-Puissant, qui a pourtant bien martelé, dans plusieurs chapitres du Livre Saint, que c’est bien à dessein qu’il s’était choisi un Messager analphabète : «Avant que je ne te confie cette mission, tu ne récitais aucun livre et n’en avais écrit aucun de ta main droite. Sinon ceux qui nient la Vérité auraient eu des doutes» (Sourate 29, l’Araignée, «Al-Hankabout», verset 48).
L’Omniscient, en prenant ainsi les devants, savait parfaitement, dans Sa Grande Sagesse, que des «Oumar Sankharé», à l’affut, ne manqueraient pas de se tenir fermement sur leurs étriers, pour semer le doute et la confusion dans certains esprits, en s’ingéniant à démontrer que l’auteur du Saint Coran n’est qu’un humain ordinaire comme tout autre, à l’instar d’un Karl Marx, avec son best seller d’économie politique «Le Capital», ou d’un Platon, promoteur d’un modèle de vie communautaire théorisé dans «La République»! Mais il est bien heureux que le dépositaire du Livre Saint fut bien un illettré, coupant ainsi l’herbe sous les pieds à éventuels contempteurs, dont la foi chancelante peine toujours à se faire à l’idée que les enseignements coraniques aient été directement inspirés par Allah à un modeste berger analphabète, par le truchement duquel Le Tout-Puissant entreprit de répandre Sa Lumière et Ses Sublimes Enseignements à travers l’univers.
Il n’empêche, que l’Organisation islamique Jamra et l’Observatoire Mbañ Gacce, dans leur posture de veille et de défense des valeurs culturelles et religieuses se feront le devoir de mener la riposte jusqu’à son terme, en décidant d’ores et déjà – en partenariat avec d’autres organisations musulmanes – de se constituer partie civile. Nous avons déjà requis à cet effet les services de Maître Massokhna Kane, qui coordonne un collectif d’avocats, qui déposeront dés lundi notre plainte entre les mains du Procureur de la République, avant de s’adresser à la presse.
Dakar, le 24 mai 2014
Pour le Bureau exécutif de
Jamra & Mbañ Gacce
Imam Massamba Diop
ongjamra@hotmail.com