Un réseau d’exportation de déchets dissimulés sous les déclarations officielles douteuses a été démantelé à Livourne, un port de la Toscane, en Italie. Une opération conjointe des carabiniers de l’unité écologique de Grosseto et des douanes locales lancée le 19 novembre dernier, a permis de mettre la main sur un chargement de vingt-quatre (24) tonnes de pneus usagés, prêts à prendre le chemin du Sénégal.
Selon L’Observateur, ces pneus, entassés et compressés de façon anarchique, portaient les stigmates d’un stockage négligent, pliés au point de nuire à leur structure.
« Ils étaient inutilisables et représentaient une menace pour la sécurité routière », a déclaré un responsable de l’opération et rapporté par le journal.
Qui informe que les agents italiens, épaulés par les homologues des ports de Darsena, ont mis au jour un véritable réseau d’exportation des déchets. « Le chargement comprenait 2 142 pneus usagés », ont fait savoir les militaires. Qui ont ajouté : « Bien qu’ils soient classés comme déchets spéciaux depuis une certification de 2003, les directives de stockages et d’exportation n’ont pas été respectées ».
L’exportateur, a informé la même source, est un entrepreneur italien actif dans le domaine du recyclage des plastiques, est désormais visé par les multiples chefs d’accusation : gestion et trafic illicite des déchets, violation des articles 256 et 259 de la loi consolidée sur l’environnement.
Pressafrik
Selon L’Observateur, ces pneus, entassés et compressés de façon anarchique, portaient les stigmates d’un stockage négligent, pliés au point de nuire à leur structure.
« Ils étaient inutilisables et représentaient une menace pour la sécurité routière », a déclaré un responsable de l’opération et rapporté par le journal.
Qui informe que les agents italiens, épaulés par les homologues des ports de Darsena, ont mis au jour un véritable réseau d’exportation des déchets. « Le chargement comprenait 2 142 pneus usagés », ont fait savoir les militaires. Qui ont ajouté : « Bien qu’ils soient classés comme déchets spéciaux depuis une certification de 2003, les directives de stockages et d’exportation n’ont pas été respectées ».
L’exportateur, a informé la même source, est un entrepreneur italien actif dans le domaine du recyclage des plastiques, est désormais visé par les multiples chefs d’accusation : gestion et trafic illicite des déchets, violation des articles 256 et 259 de la loi consolidée sur l’environnement.
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