Maître Alioune Badara CISSE apprend l’interpellation directe qui lui a été faite dans le cadre de l’exercice de ses fonctions de Ministre des Affaires Etrangères et des Sénégalais de l’Extérieur par des confrères constitués par le président Hissène HABRE pour assurer sa défense devant les Chambres Africaines Extraordinaires.
Maître Alioune Badara CISSE rappelle à ses valeureux confrères qu’il ne doit rendre compte qu’à celui d’ordre et pour le compte duquel, de par sa volonté exprimée, il a eu le privilège de servir notre pays à ce niveau de responsabilité qu’il a assumée avec toute la conscience qui sied pour ce poste de souveraineté.
Maître Alioune Badara CISSE entend n’évoquer aucun événement relatif à son passage au Ministère des Affaires Etrangères et des Sénégalais de l’Extérieur (MAESE) que si, comparaissant devant un juge ou une commission d’enquête parlementaire ou à tout le moins, levé par Monsieur le Président de la République, de toute obligation de réserve ou de préservation d’informations secrètes et confidentielles dont il n’aurait jamais eu connaissance n’eussent été les fonctions à lui confiées.
Maître Alioune Badara CISSE tient néanmoins à préciser à l’endroit de sa famille et de ses amis qui se sont inquiétés le week end durant suite à cette interpellation publique et massivement reprise par la plupart des organes de presse de notre pays et sites internet internationaux qu’il n’a pris part à aucune réunion au Sénégal ou à l’étranger ni signé ou paraphé un acte constitutif des Chambres Africaines Extraordinaires en dépit de sa présence à Dakar le jour de la signature de l’acte dont s’agit.
Maître Alioune Badara CISSE s’offre cette entorse à sa position de principe aux seules fins d’apaiser famille et alliés dont le traumatisme est encore violent suite à son départ précipité du MAESE et des raison infamantes et mensongères relatées par une certaine presse à l’appui de celui-ci alors qu’il n’avait cœur qu’à servir et n’y a servi qu’en son honneur et conscience.
Maître Alioune Badara CISSE pardonne leurs médisances à ses détracteurs d’hier, comme à ceux d’aujourd’hui et de demain et s’en remet à DIEU pour son avenir politique.
Fait à Dakar, le 25 Août 2014
Maître Alioune Badara CISSE
Maître Alioune Badara CISSE rappelle à ses valeureux confrères qu’il ne doit rendre compte qu’à celui d’ordre et pour le compte duquel, de par sa volonté exprimée, il a eu le privilège de servir notre pays à ce niveau de responsabilité qu’il a assumée avec toute la conscience qui sied pour ce poste de souveraineté.
Maître Alioune Badara CISSE entend n’évoquer aucun événement relatif à son passage au Ministère des Affaires Etrangères et des Sénégalais de l’Extérieur (MAESE) que si, comparaissant devant un juge ou une commission d’enquête parlementaire ou à tout le moins, levé par Monsieur le Président de la République, de toute obligation de réserve ou de préservation d’informations secrètes et confidentielles dont il n’aurait jamais eu connaissance n’eussent été les fonctions à lui confiées.
Maître Alioune Badara CISSE tient néanmoins à préciser à l’endroit de sa famille et de ses amis qui se sont inquiétés le week end durant suite à cette interpellation publique et massivement reprise par la plupart des organes de presse de notre pays et sites internet internationaux qu’il n’a pris part à aucune réunion au Sénégal ou à l’étranger ni signé ou paraphé un acte constitutif des Chambres Africaines Extraordinaires en dépit de sa présence à Dakar le jour de la signature de l’acte dont s’agit.
Maître Alioune Badara CISSE s’offre cette entorse à sa position de principe aux seules fins d’apaiser famille et alliés dont le traumatisme est encore violent suite à son départ précipité du MAESE et des raison infamantes et mensongères relatées par une certaine presse à l’appui de celui-ci alors qu’il n’avait cœur qu’à servir et n’y a servi qu’en son honneur et conscience.
Maître Alioune Badara CISSE pardonne leurs médisances à ses détracteurs d’hier, comme à ceux d’aujourd’hui et de demain et s’en remet à DIEU pour son avenir politique.
Fait à Dakar, le 25 Août 2014
Maître Alioune Badara CISSE