Des sinistrés de la Langue de Barbarie logés au site de Diougob sont dans l’expectative après qu’un feu d’une rare violence ait ravagé mardi d'importants biens. Au total, huit unités mobiles d’habitation appartenant à trois familles ont été emportées par les flammes.
Les victimes ont vainement tenté de stopper la propagation du feu, mais sont restées impuissantes devant la chaleur du PVC consumé. « J'ai tout perdu. On m'a prêté des habits », confie Léna, habitante du site jointe par NdarINFO.« Il y a déjà eu des incendies que nous maîtrisions sans difficultés. Nous avions eu une petite formation sur les mesures d’urgence à prendre en cas d’incident similaire. Mais, cette fois, nous ne pouvions rien faire », a-t-elle dit en soupçonnant la main de l’homme dans cette dure tragédie.
D’ailleurs, une enquête a été ouverte pour situer les responsabilités. Plongés dans la tristesse et l'émoi, les sinistrés prient pour un appui salvateur venant des autorités.
Les victimes ont vainement tenté de stopper la propagation du feu, mais sont restées impuissantes devant la chaleur du PVC consumé. « J'ai tout perdu. On m'a prêté des habits », confie Léna, habitante du site jointe par NdarINFO.« Il y a déjà eu des incendies que nous maîtrisions sans difficultés. Nous avions eu une petite formation sur les mesures d’urgence à prendre en cas d’incident similaire. Mais, cette fois, nous ne pouvions rien faire », a-t-elle dit en soupçonnant la main de l’homme dans cette dure tragédie.
D’ailleurs, une enquête a été ouverte pour situer les responsabilités. Plongés dans la tristesse et l'émoi, les sinistrés prient pour un appui salvateur venant des autorités.