Au moment où nous mettons en ligne, Idrissa Seck sillonne la région de Diourbel où il a rencontré Fallou Mbacké, Khadim Guèye avant de se rendre chez Aïda Mbodj, respectivement président des conseils départementaux de Mbacké, Diourbel et Bambèye.
En fait, le leader de Rewmi a passé la journée à Touba pour présenter ses condoléances au Khalife Général des Mourides auquel il a « voulu témoigner de sa fierté pour son excellente manière d’être la voix de la oumma sur des questions importantes concernant le monde musulman ».
Pour Bathie Gadiaga, « l’entretien avec le Khalife général des Mourides a été le temps fort de cette journée mémorable où le guide religieux n’a cessé de redire à Idrissa Seck toute l’affection qu’il lui porte ».
S’adressant à nos confrères qui se sont massés dès les premières heures de la matinée, Idrissa Seck a fustigé la manière dont les problèmes liés à l’hivernage ont été gérés. Pour lui, le gouvernement vient encore de « faire œuvre de négligence inacceptable » d’autant plus que, selon le Président de Rewmi, « aussi bien les météorologues que les scientifiques de tous bords avaient averti d’une difficile situation pluviométrique dans le Sahel ».
Il déplore, selon toujours ses termes, que «rien n’a été fait pour anticiper alors que les dispositions idoines devraient être prises depuis longtemps».
Revenant sur l’actualité politique avec l’annonce d’un Référendum par le Président Macky Sall, Idrissa Seck dira : « la réduction du mandat est une promesse. C'est honorable de respecter la parole donnée et l'engagement librement souscrit.
Par contre, il soutient que « le Référendum doit porter sur le paquet de réformes proposées par la CNRI qui dotera le Sénégal d'une constitution et d'institutions stables, préalables absolu à toute émergence » et que « toutefois, par souci de transparence, l'agenda des réformes doit être rapidement connu de tous ».
Rappelant une discussion qu’il a eue avec Mamadou Lamine Loum, Idy dit avoir recueilli de ce dernier que dans le cadre d’une méthodologie rigoureuse seules les mesures ayant reçu au moins 75 % d’avis favorables ont été acceptées pour figurer dans les propositions faites par la CNRI au Président de la République.
Ce qui lui a fait dire que « l’issue du référendum est donc connue d’avance », mais qu’à défaut « d’un bilan convaincant du présent régime, ce dernier aura, au moins, doté le Sénégal d’institutions solides préalables à toute émergence », souligne-t-il.
En fait, le leader de Rewmi a passé la journée à Touba pour présenter ses condoléances au Khalife Général des Mourides auquel il a « voulu témoigner de sa fierté pour son excellente manière d’être la voix de la oumma sur des questions importantes concernant le monde musulman ».
Pour Bathie Gadiaga, « l’entretien avec le Khalife général des Mourides a été le temps fort de cette journée mémorable où le guide religieux n’a cessé de redire à Idrissa Seck toute l’affection qu’il lui porte ».
S’adressant à nos confrères qui se sont massés dès les premières heures de la matinée, Idrissa Seck a fustigé la manière dont les problèmes liés à l’hivernage ont été gérés. Pour lui, le gouvernement vient encore de « faire œuvre de négligence inacceptable » d’autant plus que, selon le Président de Rewmi, « aussi bien les météorologues que les scientifiques de tous bords avaient averti d’une difficile situation pluviométrique dans le Sahel ».
Il déplore, selon toujours ses termes, que «rien n’a été fait pour anticiper alors que les dispositions idoines devraient être prises depuis longtemps».
Revenant sur l’actualité politique avec l’annonce d’un Référendum par le Président Macky Sall, Idrissa Seck dira : « la réduction du mandat est une promesse. C'est honorable de respecter la parole donnée et l'engagement librement souscrit.
Par contre, il soutient que « le Référendum doit porter sur le paquet de réformes proposées par la CNRI qui dotera le Sénégal d'une constitution et d'institutions stables, préalables absolu à toute émergence » et que « toutefois, par souci de transparence, l'agenda des réformes doit être rapidement connu de tous ».
Rappelant une discussion qu’il a eue avec Mamadou Lamine Loum, Idy dit avoir recueilli de ce dernier que dans le cadre d’une méthodologie rigoureuse seules les mesures ayant reçu au moins 75 % d’avis favorables ont été acceptées pour figurer dans les propositions faites par la CNRI au Président de la République.
Ce qui lui a fait dire que « l’issue du référendum est donc connue d’avance », mais qu’à défaut « d’un bilan convaincant du présent régime, ce dernier aura, au moins, doté le Sénégal d’institutions solides préalables à toute émergence », souligne-t-il.