Les policiers de Grand-Dakar viennent de mettre la main sur le présumé meurtrier de Bineta Clarisse Mané, la domestique qui avait été violée puis poignardée à son lieu de travail sis aux Hlm, le 15 septembre dernier. il s’agit de Mayacine Diop Vito, footballeur de son état, né en 1995, trahi par son téléphone portable trouvé sur les lieux du crime, informe «Le Populaire».
Sociétaire d’une école de football au stade Léopold Sédar Senghor, il a été interpellé par les éléments de la brigade de recherches de la police de Grand-Dakar qui se sont lancé sur la piste du téléphone portable trouvé sur les lieux du crime.
Vito, qui avait volé le téléphone portable de la victime, s’était rendu compte, une fois chez lui, qu’il avait oublié le sien sur les lieux du crime. Par la suite, il s’était tout de suite empressé d’aller à la Sonatel de Thiaroye pour déclarer la perte de son téléphone portable et en profiter pour récupérer sa puce et ainsi bloquer l’ancienne. Ce qui aurait rendu difficile le travail des limiers. Mais, ces derniers ne pouvant accéder au code ont dû craquer le diagramme pour avoir accès au répertoire, indique-t-on.
Le diagramme craqué, les policiers ont ainsi eu accès à la messagerie où ils ont pu lire tous les messages du présumé meurtrier et prendre contact avec son entraineur. Ce dernier a ainsi été entendu et le propriétaire du téléphone connu.
Le domicile du mis en cause situé, les enquêteurs se sont fait passer pour des recruteurs afin de l’alpaguer. Une stratégie qui a marché, d’autant plus que, joint au téléphone, il a mordu à l’hameçon. Arrêté, il est passé aux aveux.
Il déclare que le jour du meurtre, il était venu au marché Colobane pour acheter des équipements de football. Sur le chemin du retour, il a dit avoir rencontré, dans un terrain, deux équipes qui jouaient au football. Il s’est, selon ses dires, arrêté pour suivre le match. C’est ainsi qu’il indique avoir vu Bineta Mané se diriger vers un immeuble. L’ayant suivi pour l’agresser, il soutient que c’est une fois sur place que les choses ont mal tourné. Il lui a donné des coups de couteau à la cuisse et à l’abdomen. C’est ce dernier coup, dit-il, qui a été fatale à la jeune dame. Placé en garde à vue, il devra être, incessamment, déféré au parquet.
Sociétaire d’une école de football au stade Léopold Sédar Senghor, il a été interpellé par les éléments de la brigade de recherches de la police de Grand-Dakar qui se sont lancé sur la piste du téléphone portable trouvé sur les lieux du crime.
Vito, qui avait volé le téléphone portable de la victime, s’était rendu compte, une fois chez lui, qu’il avait oublié le sien sur les lieux du crime. Par la suite, il s’était tout de suite empressé d’aller à la Sonatel de Thiaroye pour déclarer la perte de son téléphone portable et en profiter pour récupérer sa puce et ainsi bloquer l’ancienne. Ce qui aurait rendu difficile le travail des limiers. Mais, ces derniers ne pouvant accéder au code ont dû craquer le diagramme pour avoir accès au répertoire, indique-t-on.
Le diagramme craqué, les policiers ont ainsi eu accès à la messagerie où ils ont pu lire tous les messages du présumé meurtrier et prendre contact avec son entraineur. Ce dernier a ainsi été entendu et le propriétaire du téléphone connu.
Le domicile du mis en cause situé, les enquêteurs se sont fait passer pour des recruteurs afin de l’alpaguer. Une stratégie qui a marché, d’autant plus que, joint au téléphone, il a mordu à l’hameçon. Arrêté, il est passé aux aveux.
Il déclare que le jour du meurtre, il était venu au marché Colobane pour acheter des équipements de football. Sur le chemin du retour, il a dit avoir rencontré, dans un terrain, deux équipes qui jouaient au football. Il s’est, selon ses dires, arrêté pour suivre le match. C’est ainsi qu’il indique avoir vu Bineta Mané se diriger vers un immeuble. L’ayant suivi pour l’agresser, il soutient que c’est une fois sur place que les choses ont mal tourné. Il lui a donné des coups de couteau à la cuisse et à l’abdomen. C’est ce dernier coup, dit-il, qui a été fatale à la jeune dame. Placé en garde à vue, il devra être, incessamment, déféré au parquet.