Le directeur de l’Office des Forages ruraux (OFOR) a insisté, mercredi, sur la nécessité de mettre en place un système de gouvernance transparent au niveau de l’hydraulique rurale et urbaine. Lansana Gagny SAKHO qui s’exprimait en marge en marge de l’ouverture de journées d’échanges regroupant la direction de ce démembrement du ministère de l’hydraulique et de l’Assainissement et des ONG de Saint-Louis intervenant dans le domaine de l’eau portable, a indiqué que « les ASUFOR, avec les collectivités locales doivent jouer un rôle prépondérant dans la gouvernance pour l’accès de l’eau, le prix et la qualité ».
M. SAKHO qui s’est réjoui de la belle implication des organisations non gouvernementales de Saint-Louis, note que les discussions au sein de la plateforme permettront d’identifier une formule adéquate de représentation des acteurs évoluant dans ce secteur.
L’OFOR, récemment primée « Entreprise la plus innovante du Sénégal », va maintenir son statut de structure d’excellence, selon son DG en prendre en charge efficacement les exigences du monde rural en terme d’approvisionnement en eau.
« Nous avons conscience que nous n’avons même pas réalisé le 10e du millième qui nous attend », a-t-il, toutefois, précisé, en expliquant que grands défis se profilent à l’horizon.
Le directeur général de l’Agence Régional de Développement (Ard) de Saint-Louis, a fortement magnifié la dynamique d’ouverture et de concertation, enclenchée par l’OFOR, en vue d’informer sur les enjeux des nouvelles reformes sur l’hydraulique, en estimant que le cadre de concertation mise sur pied, à cet effet, suscitera plus d’implication au niveau des acteurs locaux.
« Dès l’entame du processus (de réforme), l’OFOR a voulu s’ouvrir pour construire et coproduire avec les acteurs du monde rural. Des pas importants ont été franchis, mais il reste encore du chemin à faire », a dit Ousmane SOW.
M. SOW prône, en outre, une « communication agressive » pour monter les effets bénéfiques de la reforme, estimant que ces nouvelles dispositions sont pertinentes, car offrant « un service d’eau de qualité, continue et à moindre cout au profit des populations ».
Il appelle à définir des stratégies pour « renforcer nos synergies dans nos interventions », en réitérant la disponibilité de l’ARD et son « et engagement » pour être « votre relais pour que cette politique aboutir à terme ».
La plateforme a été créée dans l’optique d’animer des échanges approfondis avec les acteurs nationaux. En plus de communiquer sur les axes de la reforme, ce cadre de concertation favoriser la remontée de l’information au niveau central.
« C’est une aubaine pour les ONG », constate Frédéric DAVID, coordinateur des projets, Eau, Assainissement et Déchets à l’ONG. GRET.
Pour lui, le cadre de concertation de Saint-Louis portée par son organisation va favoriser une meilleure connaissance entre les acteurs, en plus de faciliter des échanges fructueux sur la place des ASUFOR dans la reforme.
> En vidéo, les interventions de l'OFOR, de l'ARD et du GRET ...
M. SAKHO qui s’est réjoui de la belle implication des organisations non gouvernementales de Saint-Louis, note que les discussions au sein de la plateforme permettront d’identifier une formule adéquate de représentation des acteurs évoluant dans ce secteur.
L’OFOR, récemment primée « Entreprise la plus innovante du Sénégal », va maintenir son statut de structure d’excellence, selon son DG en prendre en charge efficacement les exigences du monde rural en terme d’approvisionnement en eau.
« Nous avons conscience que nous n’avons même pas réalisé le 10e du millième qui nous attend », a-t-il, toutefois, précisé, en expliquant que grands défis se profilent à l’horizon.
Le directeur général de l’Agence Régional de Développement (Ard) de Saint-Louis, a fortement magnifié la dynamique d’ouverture et de concertation, enclenchée par l’OFOR, en vue d’informer sur les enjeux des nouvelles reformes sur l’hydraulique, en estimant que le cadre de concertation mise sur pied, à cet effet, suscitera plus d’implication au niveau des acteurs locaux.
« Dès l’entame du processus (de réforme), l’OFOR a voulu s’ouvrir pour construire et coproduire avec les acteurs du monde rural. Des pas importants ont été franchis, mais il reste encore du chemin à faire », a dit Ousmane SOW.
M. SOW prône, en outre, une « communication agressive » pour monter les effets bénéfiques de la reforme, estimant que ces nouvelles dispositions sont pertinentes, car offrant « un service d’eau de qualité, continue et à moindre cout au profit des populations ».
Il appelle à définir des stratégies pour « renforcer nos synergies dans nos interventions », en réitérant la disponibilité de l’ARD et son « et engagement » pour être « votre relais pour que cette politique aboutir à terme ».
La plateforme a été créée dans l’optique d’animer des échanges approfondis avec les acteurs nationaux. En plus de communiquer sur les axes de la reforme, ce cadre de concertation favoriser la remontée de l’information au niveau central.
« C’est une aubaine pour les ONG », constate Frédéric DAVID, coordinateur des projets, Eau, Assainissement et Déchets à l’ONG. GRET.
Pour lui, le cadre de concertation de Saint-Louis portée par son organisation va favoriser une meilleure connaissance entre les acteurs, en plus de faciliter des échanges fructueux sur la place des ASUFOR dans la reforme.
> En vidéo, les interventions de l'OFOR, de l'ARD et du GRET ...
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