Selon les informations de Jeune Afrique, cette tentative de coup d'État est menée par les éléments du Groupement des forces spéciales (GPS), une unité d'élite de l'armée aussi bien entrainée qu'équipée.
À sa tête, le colonel Mamady Doumbouya, un ancien légionnaire de l'armée française qui a été rappelé en Guinée pour prendre la tête de ce corps créé en 2018. Ces derniers mois, sa volonté d'autonomiser le GPS par rapport au ministère de la Défense avait suscité la méfiance du pouvoir de Conakry.
En mai, des rumeurs infondées faisant part de sa possible arrestation avaient même circulé dans la capitale guinéenne.
«Nous avons décidé, après avoir vu le Président -qui est avec nous- de dissoudre la constitution en vigueur, dissoudre le gouvernement et la fermeture des frontières terrestres et aériennes», a déclaré Mamady Doumbouya.
Le colonel Mamady Doumbouya, chef du Groupement des forces spéciales (GPS), une unité d’élite de l’armée aussi bien entrainée qu’équipée, a justifié ce revirement politique par «le dysfonctionnement des institutions républicaines», «l'instrumentalisation de la justice» et «le piétinement des droits des citoyens».
Il a invité toute l’armée à l’unité « afin de répondre aux aspirations légitimes du peuple guinéen ».
Il a demandé à ce que les éléments de l’armée restent dans les casernes et continuer avec leurs tâches quotidiennes.
Pour rappel, en mai dernier, des rumeurs auraient même fait état d'une possible arrestation de Mamady Doumbouya à Conakry.
Alpha condé était président de la Guinée depuis décembre 2010. Il a été réélu deux fois en 2015 et 2020.
Il a présidé l'Union africaine de janvier 2017 à janvier 2018.
À sa tête, le colonel Mamady Doumbouya, un ancien légionnaire de l'armée française qui a été rappelé en Guinée pour prendre la tête de ce corps créé en 2018. Ces derniers mois, sa volonté d'autonomiser le GPS par rapport au ministère de la Défense avait suscité la méfiance du pouvoir de Conakry.
En mai, des rumeurs infondées faisant part de sa possible arrestation avaient même circulé dans la capitale guinéenne.
«Nous avons décidé, après avoir vu le Président -qui est avec nous- de dissoudre la constitution en vigueur, dissoudre le gouvernement et la fermeture des frontières terrestres et aériennes», a déclaré Mamady Doumbouya.
Le colonel Mamady Doumbouya, chef du Groupement des forces spéciales (GPS), une unité d’élite de l’armée aussi bien entrainée qu’équipée, a justifié ce revirement politique par «le dysfonctionnement des institutions républicaines», «l'instrumentalisation de la justice» et «le piétinement des droits des citoyens».
Il a invité toute l’armée à l’unité « afin de répondre aux aspirations légitimes du peuple guinéen ».
Il a demandé à ce que les éléments de l’armée restent dans les casernes et continuer avec leurs tâches quotidiennes.
Pour rappel, en mai dernier, des rumeurs auraient même fait état d'une possible arrestation de Mamady Doumbouya à Conakry.
Alpha condé était président de la Guinée depuis décembre 2010. Il a été réélu deux fois en 2015 et 2020.
Il a présidé l'Union africaine de janvier 2017 à janvier 2018.