Des amas d’ordures longent les berges du fleuve à hauteur de Goxumbathie. A l’entrée du grand quartier, la puanteur d’une odeur nauséabonde se dégage d’un bac à ordures dépassé par son contenu et entouré de toute part par des débris de toute sorte et du plastique. Les piétons et passagers bouchent les nez et filent droit pour fuir le calvaire.
Dans le quartier, plusieurs cas de paludisme et de maladies diarrhéiques ont été détectés alors que le danger persiste avec l’augmentation du niveau de l’eau depuis l’ouverture du barrage de Diama.
Dépitée par cette situation, une partie de la population s’en est ouverte à la presse. Pour elle, l’incivisme de certains habitants de ce quartier est la cause de cet état invivable.
« La mairie a fait des efforts en mettant à notre disposition des bacs à ordures mais la paresse de certains les oblige à verser les ordures par terre », indique une source qui exige des sanctions contre de tels actes.
CSSEYE
Dans le quartier, plusieurs cas de paludisme et de maladies diarrhéiques ont été détectés alors que le danger persiste avec l’augmentation du niveau de l’eau depuis l’ouverture du barrage de Diama.
Dépitée par cette situation, une partie de la population s’en est ouverte à la presse. Pour elle, l’incivisme de certains habitants de ce quartier est la cause de cet état invivable.
« La mairie a fait des efforts en mettant à notre disposition des bacs à ordures mais la paresse de certains les oblige à verser les ordures par terre », indique une source qui exige des sanctions contre de tels actes.
CSSEYE