Une centrale électrique à gaz de 250 mégawatts sera implantée dans la commune de Gandon, a annoncé le gouverneur de la région de Saint-Louis, Alioune Badara Sambe.
”Compte tenu des orientations fortes du niveau central des autorités étatiques, il est prévu la réalisation d’une centrale à gaz d’un potentiel estimé dans un premier temps à 250 mégawatts et extensible à 500 mégawatts”, a-t-il déclaré.
M. Sambe présidait ce lundi une réunion du comité technique interrégional (Saint-Louis–Louga) sur l’examin d’une étude d’impact environnemental et social du gazoduc devant relier le hub/terminal de GTA à la centrale électrique de Gandon, près de Saint-Louis du Sénégal.
Il indique que cette centrale à gaz sera approvisionnée par du gaz provenant du gazoduc géré par le Réseau gazier du Sénégal (RGS) qui est, selon lui, une Société nationale dont les partenaires sont PETROSEN, SENELEC et FONSIS.
Le chef de l’exécutif régional annonce que le Sénégal va bientôt entrer dans le cercle restreint des pays gaziers. ”Comme vous le savez, le Sénégal va bientôt entrer dans le cercle restreint des pays gaziers avec la mise en exploitation du champ gazier Grand Tortue Ahmeyim (GTA), qu’il partage avec la République islamique sœur de Mauritanie”, a-t-il dit.
Cette réunion du comité technique a été une occasion pour les comités techniques régionaux de Saint-Louis et de Louga d’examiner le document portant sur l’étude d’impact environnemental et social.
“Je dois avouer que les attentes sont extrêmement fortes pour les populations mais également pour les hautes autorités de ce pays qui ont choisi, en tout cas, de faire du gaz un élément extrêmement important dans le sens du processus de développement du Sénégal”, a-t-il déclaré.
”C’est un plaisir d’être à Saint-Louis dans le cadre de la validation du rapport de l’étude d’impact. En fait, le projet gazoduc qui va relier le hub de GTA à la nouvelle centrale qui va être construite au niveau de Gandon, fait partie d’un vaste projet’’, a-t-il précisé le directeur général du Réseau gazier du Sénégal (RGS), Joseph Oufom Médou qui s’est dit heureux de venir à Saint-Louis dans le cadre de ce projet.
La stratégie de l’Etat sénégalais est de construire un gazoduc de 400 kilomètres entre Saint-Louis, Dakar et le département de Mbour.
Selon M. Médou, cette première phase consiste à poser un gazoduc offshore de 45 kilomètres et un autre segment onshore de 40 kilomètres pour relier le hub à la centrale de Gandon.
Il a également rappelé que d’ici la fin de l’année en cours, la production de gaz va démarrer au niveau de GTA. Il s’agit, selon lui, de prendre une partie du gaz qui sera produit là-bas et de l’acheminer au niveau local pour la production d’électricité.
Le directeur général du RGS précise que la durée de la réalisation du projet est comprise entre 12 à 15 mois.
‘’Normalement, le projet va durer en phase construction entre 12 à 15 mois, et l’État est en train de prendre toutes les dispositions, pour que le gazoduc soit prêt à être exploité avant que la centrale ne commence sa production d’électricité”, a-t-il déclaré.
Le début d’exploitation de la centrale est prévu au premier trimestre 2026, ce qui fait que le gazoduc doit être disponible avant fin 2025.
“On a finalisé les études de faisabilité. Là, on est au niveau de l’étape de validation de l’étude d’impact environnemental et social qui est très importante”, a assurée M. Medou.
Les services concernés, à l’image de l’Inspection régionale des eaux et forêts (IREF), l’aire marine protégée (AMP), la Direction de la réglementation environnementale et du contrôle (DREC), entre autres, ont pris part à cette réunion du comité technique, à laquelle a également participé le préfet du département de Saint-Louis, Diadia Dia.
APS
”Compte tenu des orientations fortes du niveau central des autorités étatiques, il est prévu la réalisation d’une centrale à gaz d’un potentiel estimé dans un premier temps à 250 mégawatts et extensible à 500 mégawatts”, a-t-il déclaré.
M. Sambe présidait ce lundi une réunion du comité technique interrégional (Saint-Louis–Louga) sur l’examin d’une étude d’impact environnemental et social du gazoduc devant relier le hub/terminal de GTA à la centrale électrique de Gandon, près de Saint-Louis du Sénégal.
Il indique que cette centrale à gaz sera approvisionnée par du gaz provenant du gazoduc géré par le Réseau gazier du Sénégal (RGS) qui est, selon lui, une Société nationale dont les partenaires sont PETROSEN, SENELEC et FONSIS.
Le chef de l’exécutif régional annonce que le Sénégal va bientôt entrer dans le cercle restreint des pays gaziers. ”Comme vous le savez, le Sénégal va bientôt entrer dans le cercle restreint des pays gaziers avec la mise en exploitation du champ gazier Grand Tortue Ahmeyim (GTA), qu’il partage avec la République islamique sœur de Mauritanie”, a-t-il dit.
Cette réunion du comité technique a été une occasion pour les comités techniques régionaux de Saint-Louis et de Louga d’examiner le document portant sur l’étude d’impact environnemental et social.
“Je dois avouer que les attentes sont extrêmement fortes pour les populations mais également pour les hautes autorités de ce pays qui ont choisi, en tout cas, de faire du gaz un élément extrêmement important dans le sens du processus de développement du Sénégal”, a-t-il déclaré.
”C’est un plaisir d’être à Saint-Louis dans le cadre de la validation du rapport de l’étude d’impact. En fait, le projet gazoduc qui va relier le hub de GTA à la nouvelle centrale qui va être construite au niveau de Gandon, fait partie d’un vaste projet’’, a-t-il précisé le directeur général du Réseau gazier du Sénégal (RGS), Joseph Oufom Médou qui s’est dit heureux de venir à Saint-Louis dans le cadre de ce projet.
La stratégie de l’Etat sénégalais est de construire un gazoduc de 400 kilomètres entre Saint-Louis, Dakar et le département de Mbour.
Selon M. Médou, cette première phase consiste à poser un gazoduc offshore de 45 kilomètres et un autre segment onshore de 40 kilomètres pour relier le hub à la centrale de Gandon.
Il a également rappelé que d’ici la fin de l’année en cours, la production de gaz va démarrer au niveau de GTA. Il s’agit, selon lui, de prendre une partie du gaz qui sera produit là-bas et de l’acheminer au niveau local pour la production d’électricité.
Le directeur général du RGS précise que la durée de la réalisation du projet est comprise entre 12 à 15 mois.
‘’Normalement, le projet va durer en phase construction entre 12 à 15 mois, et l’État est en train de prendre toutes les dispositions, pour que le gazoduc soit prêt à être exploité avant que la centrale ne commence sa production d’électricité”, a-t-il déclaré.
Le début d’exploitation de la centrale est prévu au premier trimestre 2026, ce qui fait que le gazoduc doit être disponible avant fin 2025.
“On a finalisé les études de faisabilité. Là, on est au niveau de l’étape de validation de l’étude d’impact environnemental et social qui est très importante”, a assurée M. Medou.
Les services concernés, à l’image de l’Inspection régionale des eaux et forêts (IREF), l’aire marine protégée (AMP), la Direction de la réglementation environnementale et du contrôle (DREC), entre autres, ont pris part à cette réunion du comité technique, à laquelle a également participé le préfet du département de Saint-Louis, Diadia Dia.
APS