La colère s’envenime dans la cité religieuse de Ngaye après le refus d'un opérateur privé de céder une centaine d'hectares mis à sa disposition pour un projet agricole. Les villageois soutiennent qu’un contrat de location de 5 ans a été signé avec l’homme d’affaires et que le document est arrivé à expiration.
Ils ont se regroupés hier pour dénoncer le refus de l’entrepreneur de quitter et réclament l'arbitrage du maire de la Commune de Gandon pour que leurs terres leur soient la restituées.
« Nous lui avons cédé une assiette après une entente avec 22 héritiers du domaine et le versement d’un montant de 11 millions FCFA », renseigne un notable. « Il n’a respecté aucun des engagements pris dans le cadre de l’accord qui nous liait. Déjà, à nos premières rencontres, il s’est exclamé de construire un poste « Peritel » pour mettre gratuitement le réseau à notre disposition. Il avait promis aussi de soutenir notre Gamou et notre Ziarra, de soutenir le GIE et de reverser 5 % de sa production annuelle aux journaliers. Rien n’a été fait », affirme un notable.
« Nous avons saisi les autorités pour qu’il nous rende notre bien et qu’il s’en aille », crie Vieux BOYE, le porte-parole du Khalif de Ngaye. « Nous réclamons nos terrains. Qu’il sache qu’ils ne sont pas à prêter ni à vendre », a-t-il ajouté.
Ils ont se regroupés hier pour dénoncer le refus de l’entrepreneur de quitter et réclament l'arbitrage du maire de la Commune de Gandon pour que leurs terres leur soient la restituées.
« Nous lui avons cédé une assiette après une entente avec 22 héritiers du domaine et le versement d’un montant de 11 millions FCFA », renseigne un notable. « Il n’a respecté aucun des engagements pris dans le cadre de l’accord qui nous liait. Déjà, à nos premières rencontres, il s’est exclamé de construire un poste « Peritel » pour mettre gratuitement le réseau à notre disposition. Il avait promis aussi de soutenir notre Gamou et notre Ziarra, de soutenir le GIE et de reverser 5 % de sa production annuelle aux journaliers. Rien n’a été fait », affirme un notable.
« Nous avons saisi les autorités pour qu’il nous rende notre bien et qu’il s’en aille », crie Vieux BOYE, le porte-parole du Khalif de Ngaye. « Nous réclamons nos terrains. Qu’il sache qu’ils ne sont pas à prêter ni à vendre », a-t-il ajouté.