Après plusieurs semaines d'arrêt des travaux de réhabilitation de la grande mosquée de Saint-Louis, l'entreprise en charge du chantier a décidé de se retirer parce qu'étant désormais dans l'impossibilité de continuer les travaux dans les conditions actuelles.
Le conseil d'administration de l'entreprise en question qui a pris cette décision accuse en effet le BAC et l'administration du projet d'avoir modifié unilatéralement les termes et le programme du contrat d'entreprise, entraînant ainsi d'importants travaux supplémentaires qu'il refuse de prendre en compte, malgré les mutations économiques importantes enregistrées depuis le démarrage des travaux.
D'après leurs explications au départ, c'est un contrat de travaux de réhabilitation de la grande mosquée de Saint-Louis qui liait leur entreprise à l'état, mais après les sondages du labo sol et les expertises du bureau de contrôle technique, les experts conseils ont ordonné la démolition intégrale de l'ouvrage et sa reconstruction identiques à l'ancien, donc un projet neuf. Seulement jusque là, le budget et les termes du contrat n'ont fait l'objet d'aucune modification. Ne pouvant plus continuer à supporter les charges de ses employés sur place et le manque à gagner provoqué par les matériel lourds immobilisé sur le chantier l'entreprise va tous simplement plier bagages.
Un coup dur pour la communauté musulmane qui attend depuis lors de pouvoir utiliser son lieu de culte dont la réhabilitation dure maintenant plusieurs années.
Source : Cheikh NDIONGUE
Le conseil d'administration de l'entreprise en question qui a pris cette décision accuse en effet le BAC et l'administration du projet d'avoir modifié unilatéralement les termes et le programme du contrat d'entreprise, entraînant ainsi d'importants travaux supplémentaires qu'il refuse de prendre en compte, malgré les mutations économiques importantes enregistrées depuis le démarrage des travaux.
D'après leurs explications au départ, c'est un contrat de travaux de réhabilitation de la grande mosquée de Saint-Louis qui liait leur entreprise à l'état, mais après les sondages du labo sol et les expertises du bureau de contrôle technique, les experts conseils ont ordonné la démolition intégrale de l'ouvrage et sa reconstruction identiques à l'ancien, donc un projet neuf. Seulement jusque là, le budget et les termes du contrat n'ont fait l'objet d'aucune modification. Ne pouvant plus continuer à supporter les charges de ses employés sur place et le manque à gagner provoqué par les matériel lourds immobilisé sur le chantier l'entreprise va tous simplement plier bagages.
Un coup dur pour la communauté musulmane qui attend depuis lors de pouvoir utiliser son lieu de culte dont la réhabilitation dure maintenant plusieurs années.
Source : Cheikh NDIONGUE