Souvent les intoxications alimentaires dues à un excès de pesticides sont enregistrées. Un projet veut mettre fin à cette situation et se fixe comme objectif de sensibiliser les agriculteurs à l’utilisation des bonnes habitudes en la matière.
La promotion d’une agriculture saine et durable est le but visé par le projet Gestion intégré de la production et des déprédateurs (GIPD) dans la vallée du fleuve du Sénégal, a indiqué jeudi son coordonnateur, le Dr Abdou Mbodj.
Mis en eouvre de 2002 à 2010, ce projet lançait jeudi sa deuxième au centre de Ndiaye Mberes.
Cette phase va consister à la diffusion des résultats du projet pour un coût de 80 millions de francs CFA financés par le Fonds national de recherches agricoles et agro-alimentaires (FNRAA).
Spécifiquement, ce projet vise à sensibiliser les agriculteurs sur les impacts négatifs des pesticides chimiques sur la santé et l’environnement, a dit M. Mbodj.
Il a déploré les cas d’intoxication, dus notamment à une mauvaise utilisation des traitements par les producteurs qui, avec ce projet, seront initiés aux bonnes pratiques agricoles.
Ce projet va également s’atteler à renforcer les capacités des techniciens et à vulgariser les principes et méthodes de la GIPD au niveau de la vallée du fleuve Sénégal, selon le Dr Mbodj.
La GIPD entend aussi, ajoute son coordonnateur, réduire les quantités de pesticides chimiques utilisés dans les cultures maraîchères dans la zone cible : oignons, tomates et patate douce, etc.
Comme alternative aux pesticides, le coordonnateur du projet GIPD prône l’utilisation des produits naturels qui peuvent être efficaces sans présenter de dangers pour la santé.
Le directeur exécutif du FNRAA, le colonel Pape Sall a, quant à lui, affirmé que son institution a dégagé une enveloppe de 4 milliards pour accompagner des projets tendant à l’amélioration de la qualité des produits agricoles à travers le Sénégal.
L’engagement du FNRA à travers ce projet s’explique par cette volonté de faciliter l’implication des groupements d’intérêts économiques et d’autres institutions comme l’Université Gaston Berger (UGB) pour jouer le rôle anciennement dévolu à des instituts de recherches.
La GIPD est logée à la Société nationale d’aménagement et d’exploitation des terres du delta du fleuve Sénégal et de la Falémé (SAED).
La promotion d’une agriculture saine et durable est le but visé par le projet Gestion intégré de la production et des déprédateurs (GIPD) dans la vallée du fleuve du Sénégal, a indiqué jeudi son coordonnateur, le Dr Abdou Mbodj.
Mis en eouvre de 2002 à 2010, ce projet lançait jeudi sa deuxième au centre de Ndiaye Mberes.
Cette phase va consister à la diffusion des résultats du projet pour un coût de 80 millions de francs CFA financés par le Fonds national de recherches agricoles et agro-alimentaires (FNRAA).
Spécifiquement, ce projet vise à sensibiliser les agriculteurs sur les impacts négatifs des pesticides chimiques sur la santé et l’environnement, a dit M. Mbodj.
Il a déploré les cas d’intoxication, dus notamment à une mauvaise utilisation des traitements par les producteurs qui, avec ce projet, seront initiés aux bonnes pratiques agricoles.
Ce projet va également s’atteler à renforcer les capacités des techniciens et à vulgariser les principes et méthodes de la GIPD au niveau de la vallée du fleuve Sénégal, selon le Dr Mbodj.
La GIPD entend aussi, ajoute son coordonnateur, réduire les quantités de pesticides chimiques utilisés dans les cultures maraîchères dans la zone cible : oignons, tomates et patate douce, etc.
Comme alternative aux pesticides, le coordonnateur du projet GIPD prône l’utilisation des produits naturels qui peuvent être efficaces sans présenter de dangers pour la santé.
Le directeur exécutif du FNRAA, le colonel Pape Sall a, quant à lui, affirmé que son institution a dégagé une enveloppe de 4 milliards pour accompagner des projets tendant à l’amélioration de la qualité des produits agricoles à travers le Sénégal.
L’engagement du FNRA à travers ce projet s’explique par cette volonté de faciliter l’implication des groupements d’intérêts économiques et d’autres institutions comme l’Université Gaston Berger (UGB) pour jouer le rôle anciennement dévolu à des instituts de recherches.
La GIPD est logée à la Société nationale d’aménagement et d’exploitation des terres du delta du fleuve Sénégal et de la Falémé (SAED).