Pour apporter une réponse locale à cette problématique, il aurait fallu, de manière transparente et apolitique que l’équipe municipale se charge de porter cette initiative en y invitant dès la réflexion et la conception les conseils de jeunesse qui représentent légalement et légitiment la jeunesse comme de Saint-Louis.
Cela rimerait en parfaite adéquation avec la Charte Africaine de la Jeunesse ratifiée par le Sénégal en 2006 qui exige dans un souci de bonne gouvernance et d’accès des jeunes aux instances de décisions, la pleine participation et l’implication des jeunes pour les affaires les concernant.
Le GIE « Diappalé ndawyi » mis en place par le Maire Mansour FAYE ressemble plus à une démarche partisane qu’à une initiative regroupant toute les sensibilités de la jeunesse Saint-louisienne sans aucune coloration politique sous le pilotage institutionnel du Conseil municipal.
Étant donnée que le lancement de cette initiative a été fait au siège de l’APR en présence de certains responsables de ce parti et de leurs militants, que les trois postes clés du GIE sont attribués à des responsables aguerris de l’APR et qu’aucune implication des conseils de jeunesse n’a été faite à priori, prouvent que cette démarche à des allures plus partisanes qu’une démarche démocratique et transparente censée profiter à toute la jeunesse de Saint-Louis sans tenir compte des sensibilités politiques.
Cependant, nous invitons le maire entouré de son conseil municipal a asseoir une politique locale de jeunesse holistique et inclusive qui pourra répondre de manière concrète et efficiente à la problématique de l’emploi et de l’employabilité des jeunes de la commune de Saint-Louis.
A cet effet, il pourra mettre en place un fond local pour l’entrepreneuriat des jeunes pris en compte dans le budget de la municipalité avec l’appui de ses potentiels partenaires dont la gestion sera transparente et participative entre l’équipe municipale, les institutions financières partenaires, les partenaires techniques et financiers et les responsables des conseils de jeunesse. Toutes ces parties prenantes pourront être regroupées autour d’un comité pour assurer la bonne gouvernance, le suivi et la durabilité de cette nouvelle tentative de réponse efficace à la problématique de l’emploi et de l’employabilité des jeunes de la commune de Saint-Louis.
Fara NDIAYE
Président du conseil régional de la Jeunesse
Cela rimerait en parfaite adéquation avec la Charte Africaine de la Jeunesse ratifiée par le Sénégal en 2006 qui exige dans un souci de bonne gouvernance et d’accès des jeunes aux instances de décisions, la pleine participation et l’implication des jeunes pour les affaires les concernant.
Le GIE « Diappalé ndawyi » mis en place par le Maire Mansour FAYE ressemble plus à une démarche partisane qu’à une initiative regroupant toute les sensibilités de la jeunesse Saint-louisienne sans aucune coloration politique sous le pilotage institutionnel du Conseil municipal.
Étant donnée que le lancement de cette initiative a été fait au siège de l’APR en présence de certains responsables de ce parti et de leurs militants, que les trois postes clés du GIE sont attribués à des responsables aguerris de l’APR et qu’aucune implication des conseils de jeunesse n’a été faite à priori, prouvent que cette démarche à des allures plus partisanes qu’une démarche démocratique et transparente censée profiter à toute la jeunesse de Saint-Louis sans tenir compte des sensibilités politiques.
Cependant, nous invitons le maire entouré de son conseil municipal a asseoir une politique locale de jeunesse holistique et inclusive qui pourra répondre de manière concrète et efficiente à la problématique de l’emploi et de l’employabilité des jeunes de la commune de Saint-Louis.
A cet effet, il pourra mettre en place un fond local pour l’entrepreneuriat des jeunes pris en compte dans le budget de la municipalité avec l’appui de ses potentiels partenaires dont la gestion sera transparente et participative entre l’équipe municipale, les institutions financières partenaires, les partenaires techniques et financiers et les responsables des conseils de jeunesse. Toutes ces parties prenantes pourront être regroupées autour d’un comité pour assurer la bonne gouvernance, le suivi et la durabilité de cette nouvelle tentative de réponse efficace à la problématique de l’emploi et de l’employabilité des jeunes de la commune de Saint-Louis.
Fara NDIAYE
Président du conseil régional de la Jeunesse